Sex is not the answer. Sex is the question. "Yes" is the answer. » Noah /chaud chaud cacao\
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Sujet: Sex is not the answer. Sex is the question. "Yes" is the answer. » Noah /chaud chaud cacao Mer 16 Mar - 15:30
« Objection monsieur le juge. » dit froidement Épiphanie en toisant son interlocuteur « Selon le deuxième amendement bien connu de la Constitution des États Unis d'Amérique, tout citoyen a le droit de détenir et porter une arme. De plus, il était légitime pour ma cliente d'utiliser ce revolver à l'encontre de son mari, dans ce dossier sont reportées de nombreuses plaintes pour coups et blessures, harcèlement même ; bien que la justice aie honteusement choisit de ne pas donner de suite à la doléance de Madame Da Silva . » . Elle reprit son souffle « Ce n'est pas seulement une question de vengeance mesquine qui se joue ici, Mesdames, Messieurs, mais la vie d'une femme bonne qui a toujours oeuvré en bonne citoyenne et avec patriotisme, une femme qui a droit au bonheur, comme vous et moi . » .Le juge tapa un coup de marteau sur son bureau pour faire taire les bavards « Objection retenue. Je demanderais cependant des preuves de vos dires, Maître Fields ». Les jurés se penchèrent pour débattre silencieusement, tandis que l'avocat de la défense s'agitait nerveusement. Finalement, il se leva et réclama « Je demande un ajournement du procès. » . Chuchotements dans la salle et rumeurs indignées. Épiphanie leva les yeux au ciel. C'était la troisième fois qu'il demandait un ajournement, et plus rien n'avançait. Cherchaient-ils à gagner du temps ? Elle avait l'impression de marcher à reculons, jusqu'à hier sa cliente était restée la victime, puis son époux avait sorti un as de sa manche pour l'accuser de menaces avec un .357 Magnum. Elle avait du revoir toute sa défense, et rentrer beaucoup plus tard que prévu. Heureusement que ses honoraires étaient élevés. Un sourire rassurant aux lèvres, elle se tourna vers Francesca Da Silva pour la rassurer « Ne vous inquiétez pas, il ne pourra pas continuellement ajourner le procès, viendra un jour où il payera pour ce qu'il vous a fais subir. » du moins, elle l'espérait. Rassemblant ses documents, elle serra la main de la plaignante , et salua le juge qu'elle connaissait plutôt bien pour avoir défendu bon nombre d'affaires devant lui. Avec un clin d'œil, il dit « Je suis censé faire preuve de neutralité, mais vous et moi savons très bien l'issue de ce procès . » elle rit un peu, cela faisait du bien « J'espère, Monsieur le Juge, que vous saurez alors trouver une sanction exemplaire. Bon courage pour la suite ! » ajouta t-elle en voyant les dossiers qui s'amassaient à côté de lui, avant de partir d'un bon pas pour rejoindre son cabinet qui se trouvait, heureusement, non loin du palais de justice. Elle n'arrivait toujours pas à comprendre comment les deux jeunes gens follement amoureux qu'elle avait aperçu sur une photo de mariage pouvaient à présent faire preuve de tant de violence et de haine. Pathétique vision du monde et de l'amour en général. Mais elle avait déjà eu affaire à pire, deux fois elle avait du se faire l'avocate d'un meurtrier. Il était plus difficile de plaider pour quelqu'un qui a tué par plaisir.
Elle pénétra le hall d'entrée de l'immeuble où se trouvait leur spacieux cabinet et sonna, elle avait oublié ses clefs. « Noah, ouvre vite, j'ai une surprise pour toi . » dit elle mystérieusement. Bon, ce n'était pas exactement vrai, mais elle allait improviser. Dans l'ascenseur, elle se débarrassa rapidement de ses habits pour rester en sous-vêtements sous son manteau. Rangeant précipitamment sa jupe et sa chemise dans son sac, elle se recoiffa en vitesse en priant pour qu'il soit seul. Manque de chance, l'un des locataires du troisième étage décida qu'il avait envie de lui faire la conversation « Bonjour, Épiphanie, je profite de vous voir pour vous poser une question … À quel article de loi dois-je me fier si je désire attaquer en justice quelqu'un pour plagiat ? » Gênée qu'il puisse découvrir sa tenue légère, elle marmonna en rougissant « Que vous a-t'on plagié, Monsieur Frieder ?» « Une recette de cuisine que je tenais de ma grand mère . » elle soupira un peu trop fort « Je n'en sais rien, je vérifierais et je vous tiens au courant. » il hocha la tête et la regarda partir de l'ascenseur, avant d'appuyer sur le bouton du R.D.C. . « Quel con … » chuchota la brune avant de toquer à la porte . Comme prévu, ce fut Noah qui l'accueillit « Est-ce que tu es seul ? » s'enquerra t-elle en regardant dans toutes les pièces (si un quelconque client s'était caché dans le trou des toilettes, on sait jamais .) . Pas un chat. Rassurée, elle s'en retourna vers lui et l'interrogea avec un air coquin « On joue au Docteur ? J'ai besoin d'une auscultation ... ».
Spoiler:
CATIN EXPRESS BONJOUR Désolée je suis nulle pour commencer :p .
a
Dernière édition par Epiphanie Maryan-Fields le Mar 22 Mar - 15:21, édité 1 fois
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Sujet: Re: Sex is not the answer. Sex is the question. "Yes" is the answer. » Noah /chaud chaud cacao\ Sam 19 Mar - 14:06
De la paperasse. Après un réveil pas du tout en douceur grâce à Jude et ses goûts musicaux douteux et surtout trop bruyants, je n'avais que de la paperasse à faire. Etudier des dossiers, préparer des présentations au tribunal et surtout m'ennuyer. Dire qu'Epi était au tribunal pendant que je restais coincé au bureau. Heureusement que j'avais suffisamment dormi et pris du café car je me serais sûrement endormi sinon. Les affaires commençaient à marcher de mieux en mieux pour notre cabinet. Nous avions eu des débuts plutôt difficiles mais ça valait le coup puisque nous commencions à nous faire petit à petit un nom dans le milieu. Certes, nous n'étions pas encore assaillis par le travail mais ça venait. Nous avions plus de clients grâce au bouche à oreille. Et cela signifiait que nous devions nous diviser le travail. Donc ce matin, Epi se tapait le boulot le plus intéressant - soit aller plaider au tribunal -, je m'occupais de tout préparer pour un autre dossier. C'était une affaire d'agression. Notre client avait été agressé un soir près d'un bar et avait porté plainte puisque la police avait retrouvé l'agresseur. Mais l'avocat de l'agresseur était bon et avait trouvé quelque chose sur mon client. En effet, il y avait peu de témoins et chacun avait pris le parti d'un des deux. Donc l'agresseur avait utilisé une cicatrice sur son corps pour justifier que mon client l'avait attaqué. Sa blessure avait été soignée et je devais donc chercher l'hôpital qui l'avait soigné. J'étais bien parti pour passer ma matinée avec un annuaire et un téléphone pour chercher.
Après avoir appelé sans succès la moitié des hôpitaux de l'Etat, je commençais à désespérer quand j'entendis la sonnette. J'allais jusqu'à l'interphone me demandant qui cela pouvait être. Un nouveau client ? Un voisin qui voulait savoir quelque chose sur la loi ? Je décrochais le téléphone « Noah, ouvre vite, j'ai une surprise pour toi . » J'appuyais sur l'interrupteur sans me poser plus de questions. J'étais étonné qu'elle rentre déjà. Son procès avait encore dû être ajourné. Ce cas était plutôt compliqué même si il était évident que notre cliente était la victime dans l'histoire. Je me demandais quelle serait la surprise d'Epi mais m'y attendant, je fermais les stores le temps qu'elle monte. Ses surprises étaient souvent d'ordre sexuel alors je savais à quoi m'attendre. Mais dans le cas où sa surprise serait un nouveau client ou autre chose, je ne commençais pas à enlever mes vêtements. J'aurais l'air con devant quelqu'un d'autre totalement nu. Et laisser Epi me déshabiller était bien plus intéressant. Je l'entendis frapper à la porte et j'allais lui ouvrir. « Est-ce que tu es seul ? » Portant un long manteau, elle se dépêcha d'aller fouiller partout. Je souris. La surprise était donc bien ce que je pensais. « Oui, je suis seul. Il n'y a que nous ici. » dis-je en verrouillant la porte d'entrée. Elle revint vers moi après avoir tout fouillé. « On joue au Docteur ? J'ai besoin d'une auscultation ... ». Je souris et m'approchais d'elle. « Je suis un très bon docteur. Voulez-vous bien vous déshabiller ? » Sans attendre de réponse, je déboutonnais son manteau pour m'apercevoir avec plaisir qu'elle était déjà nue en dessous. « J'apprécie la surprise. » Je souris et je laissais tomber son manteau sur le sol. Elle ne portait déjà plus que ses chaussures et j'aimais bien la tournure que prenaient les choses. Je posais ma main sur sa poitrine. « Quels sont vos symptômes ? Vous avez mal quand j'appuie ici ? » demandais-je en appuyant un peu sur son sein. Je posais mon autre main sur ses fesses et je souris. « Ne vous inquiétez pas, c'est pour voir quelle réaction on obtient en faisant les deux choses à la fois. »
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Sujet: Re: Sex is not the answer. Sex is the question. "Yes" is the answer. » Noah /chaud chaud cacao\ Dim 20 Mar - 7:02
« Oui, je suis seul. Il n'y a que nous ici. » répondit Noah en fermant la porte derrière lui. Elle sourit. Au moins, il l'avait percée à jour et elle n'aurait pas besoin de s'expliciter quant à sa nouvelle lubie. Il faut dire qu'elle n'était pas d'une extraordinaire finesse, quand il s'agissait du sexe, plus vite il comprenait mieux c'était. Ensuite, la remarque qui tue tout, celle qu'on a vu un millier de fois dans les films pornos. Epiphanie, qui regarde des films x, vous étonnerez vous - ou pas . Eh bien, disons qu'elle était curieuse . Et insatiable. Et qu'elle aimait bien innover, ça du moins il ne pouvait pas s'en plaindre, un jour elle les avait barricadé dans le bureau en plaidant un « nuage nucléaire qui volait droit sur eux et ils vivaient leurs derniers instants, autant en profiter » . Noah s'avança vers elle, trop lentement à son goût, peut-être que son regard affamé lui donnait plutôt l'impression qu'elle s'apprêtait à le dévorer sans cérémonie ? La distance était intenable, elle avait horriblement chaud malgré son peu de tissus sur le corps. Voluptueuse, elle se mordit la lèvre inférieure. « Je suis un très bon docteur. Voulez-vous bien vous déshabiller ? » s'enquit-il, sans réellement attendre de réponse, alors que ses mains parcouraient déjà les boutons de son manteau pour les enlever un à un. « Docteur, j'ai l'impression que je vais avoir besoin d'un grosse seringue … » murmura t-elle alors qu'il laissait retomber son pardessus. Elle était presque nue, avec pour seul parure que son balconnet et ses bas. « J'apprécie la surprise. » déclara t-il après avoir pris un temps pour la regarder. Devait-elle faire le coup du thermomètre ? Parce qu'il commençait à faire très chaud dans cette pièce. Elle leva les doigts pour toucher à son tour la cravate mal ajustée de son associé. « Vous n'avez pas peur de prendre chaud ? Et si vous vous débarrassiez de cette veste, vous seriez sans doute plus à l'aise … » dit elle en lui enlevant progressivement son blouson, laissant au passage courir ses doigts sous sa chemise pour frôler son torse. Il sourit et posa sa paume sur son sein « Quels sont vos symptômes ? Vous avez mal quand j'appuie ici ? ». Épiphanie mima un peu la douleur, alors que ses joues prenaient une jolie teinte colorée « Docteur Hoxley, c'est atroce, j'ai mal à l'aine … » elle attrapa sa main et la guida doucement sur ses courbes « Ça va déjà mieux de ce côté là, mais vous devriez continuer un peu, au cas où … » . Elle rit, un peu surprise quand sa main se posa sur son fessier « Ne vous inquiétez pas, c'est pour voir quelle réaction on obtient en faisant les deux choses à la fois. » s'expliqua le jeune homme. « C'est drôle, Dr, mais ça me rend … lubrique … » releva t-elle en se collant à lui sensuellement et on posant ses doigts sur sa braguette, les y laissant quelques secondes avant de pouffer « C'est fou ce que je suis maladroite … Alors, que me prescrivez vous ? » . Comme pour le narguer, elle s'éloigna en avançant ostensiblement la poitrine. « Vous pensez qu'une piqure sera nécessaire ? » . La jeune femme s'approcha de lui pour le saisir sur le col de la chemise « Vous devriez écrire mon ordonnance, que diriez vous que je vous accompagne jusqu'au bureau ? » Sans lâcher le tissus, elle l'attira vers elle tant et si bien qu'elle se retrouva acculée entre le pupitre et lui . Elle caressait outrageusement son torse en faisant attention de ne pas descendre plus bas, histoire d'attiser son désir. Finalement, elle se mit sur la pointe des pieds et l'embrassa voluptueusement, collant sa peau à la sienne, ne pouvant tolérer un centimètre d'écart entre leurs deux corps. « J'ai toujours apprécié votre proximité, docteur . »
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Sujet: Re: Sex is not the answer. Sex is the question. "Yes" is the answer. » Noah /chaud chaud cacao\ Dim 20 Mar - 18:50
Coucher avec Epi était devenu une habitude que j'appréciais de plus en plus. Certes, j'avais adoré ça depuis le début mais nos petits jeux me plaisaient encore plus. Elle trouvait toujours de quoi renouveler nos aventures et j'adorais ça. Cela rendait nos relations encore plus excitantes et notre cabinet avait souvent servi de lieu pour nos jeux. Nous essayons de rester le plus discrets possible pour ne pas salir notre relation mais sinon, nous ne nous gênions pas. « Docteur, j'ai l'impression que je vais avoir besoin d'un grosse seringue … » Je souris en lui enlevant son manteau. Son corps parfait était sous si peu de tissu que c'en était affriolant. « Vous n'avez pas peur de prendre chaud ? Et si vous vous débarrassiez de cette veste, vous seriez sans doute plus à l'aise … » Je la laissais enlever ma veste tout en admirant - ou auscultant pour rester dans mon rôle - son corps. « Docteur Hoxley, c'est atroce, j'ai mal à l'aine … » Je lui touchais le sein et elle avait mal à l'aine ? Tant pis, descendons un peu. Elle prit ma main pour la poser où elle voulait. Je sentais mon inspiration monter ( ) mais je laissais le jeu continuer. « Ça va déjà mieux de ce côté là, mais vous devriez continuer un peu, au cas où … » Je ne me fis pas prier et je posais ma main sur ses fesses tandis que l'autre était toujours sur son sein. « C'est drôle, Dr, mais ça me rend … lubrique … » dit-elle en me collant. Elle joua avec ma braguette sans pour autant l'ouvrir et je fus déçu. Certes attendre rendait la chose encore meilleure mais j'en avais extrêmement envie et elle me faisait languir. « C'est fou ce que je suis maladroite … Alors, que me prescrivez vous ? » Elle enleva sa main tout en continuant de jouer son rôle de la patiente. De la patiente très canon et surtout en manque. « Vous pensez qu'une piqure sera nécessaire ? » Je souris alors qu'elle s'éloignait de moi. Je me mordis la lèvre. « Une piqure est tout ce dont vous avez besoin. Par contre, il faudrait enlever tout ce tissu car ce n'est pas compatible avec ma seringue. » Je souris tout en dégraffant son soutien-gorge alors qu'elle balançait ses chaussures. Je n'eus pas le temps de m'attaquer à sa culotte qu'elle attrapa ma chemise : « Vous devriez écrire mon ordonnance, que diriez vous que je vous accompagne jusqu'au bureau ? » Elle se colla contre moi et elle me fit reculer vers le bureau. Elle caressait mon torse vu que ma chemise était désormais ouverte. Puis elle m'embrassa en se collant littéralement contre moi. Je ne résistais pas et je caressais ses fesses tout en reculant encore. « J'ai toujours apprécié votre proximité, docteur . » Je souris entre deux baisers et la faisait pivoter pour qu'elle soit vers le bureau. « Je propose que vous vous allongiez pour votre piqure. » dis-je en dégageant les papiers du bureau et en la faisant basculer. Une fois qu'elle fut couchée, je me penchais vers elle et m'occupais de retirer cette culotte qui me gênait dans ce que je voulais faire. Une fois qu'elle eut passée ses pieds, je la balançais au loin - comme si j'avais peur qu'elle revienne m'embêter - et je posais mes mains dans le bas du dos d'Epi pour la relever. Elle était assise devant moi, complètement nue et je ne résistais pas à l'envie de l'embrasser. Pendant ce temps, je commençais à déboutonner ma braguette et je sentis ses mains m'y aider. Je la laissais donc faire et j'enlevais ma chemise. « Il me semble avoir compris d'où vient votre problème, je vais devoir agir. » Le docteur semblait lui plaire alors autant continuer. Je l'embrassais dans le cou, sentant son pantalon descendre. Je luttais avec mes pieds pour le virer tout en descendant mes baisers. « Je préfère vous prévenir, ça risque d'être long et très agréable. Vous êtes prête ?»
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Sujet: Re: Sex is not the answer. Sex is the question. "Yes" is the answer. » Noah /chaud chaud cacao\ Mar 22 Mar - 15:19
« Une piqure est tout ce dont vous avez besoin. Par contre, il faudrait enlever tout ce tissu car ce n'est pas compatible avec ma seringue. » dit il alors qu'il faisait céder les attaches de son soutien gorge. Elle rit et l'attira vers elle jusqu'au bureau alors qu'il débarrassait ce dernier d'un coup de main des dossiers et feuilles qui traînaient dessus . Épiphanie sentait qu'elle l'avait laissé sur sa faim. Une minute plus tard, à peine, elle se retrouvait complétement nue et offerte au regard de son associé, et ils se lançaient en un baiser zélé et exalté. À l'aveuglette, elle tentait de défaire sa braguette sans pour autant relâcher son étreinte. L'attache céda et elle mit sa main dans son boxer alors que ses autres doigts redécouvraient chaque parcelle du corps de son amant, constatant que son inspiration prenait de l'ampleur () . Noah, faisant descendre progressivement ses baisers vers son bas ventre « Il me semble avoir compris d'où vient votre problème, je vais devoir agir. Je préfère vous prévenir, ça risque d'être long et très agréable. Vous êtes prête ? ». Épiphanie cambra le dos en gémissant « J'ai peur des piqures, Docteur ... » elle se redressa un peu « Je crois que cela me rassurait si je pouvais voir la taille de la seringue avant ... ». Experte, elle releva son corps et contourna Noah pour le pousser sur le bureau à son tour. Doucement, en faisant durer un maximum, elle lui enleva son short, sans le quitter des yeux . « Vous n'avez pas peur de me faire mal avec une si grosse aiguille ? » demanda t-elle avant de prendre l'aiguille en question entre ses doigts, faisant des aller-retour rapides alors que sa bouche cherchait à nouveau ses lèvres . L'idée qu'un client les vit dans une position si indécente lui donna envie de rire mais elle garda cette pensée pour elle, ne voulant pas interrompre leurs ébats par des idées parasites. Quoi que l'idée que quelqu'un prenne son pied en les observant ne lui était pas désagréable. Épiphanie le dévorait de baisers sur chaque endroit à portée de ses lèvres, chaque parcelle de son corps, brûlante de désir, comme si elle ne pouvait se repaître de lui totalement, ne pouvant laisser une seconde se déroulait sans toucher sa peau, la force brute de ses muscles, profitant de cette anatomie parfaite qui était sienne l'espace de quelques heures. Ils se moulaient parfaitement l'un à l'autre, ne faisant qu'un comme à chaque fois qu'ils couchaient ensemble. C'était électrifiant. Mais ce n'était pas assez, elle en voulait plus alors même qu'ils aussi proches qu'il est possible de l'être. Elle l'embrassait sans discontinuer, goûtant la saveur délicieuse de sa peau, sentant sa bouche en incandescence, elle n'était plus qu'un corps à la recherche du péché originel, comme un volcan bouillonnant se réveillant avec ses caresses. Le faisant basculer sur la plate forme en bois, elle l'enjamba sans laisser un seul espace entre leurs épidermes enfiévrés. Avec un sourire carnassier, elle fit à son tour descendre progressivement ses baisers vers sa virilité . « J'ai oublié mon porte monnaie, je vous paie en nature ... » murmura t-elle, tentatrice, alors qu'elle faisait tomber ses lèvres en un baiser furtif puis plus accentué en bas. Ses longs cheveux bruns tombaient en cascade sur ses épaules et son mascara avait un peu coulé. Telles celles d'un artiste, ses mains redessinaient la courbe sensuelle et adorable des hanches musclées de Noah . Elle regrettait qu'il n'aie déjà plus de vêtement alors qu'elle aurait voulu lui arracher sauvagement tout tissu qui devenait barrière entre elle et lui .
Elle se demandait ce qu'il arriverait si un jour le bruit se répandait qu'ils faisaient ce genre de choses au cabinet. Bien entendu, ils n'étaient pas les seuls à se distraire ainsi, mais ils avaient une certaine réputation à tenir s'il espérait étendre leurs domaines de prédilection et avoir plus de clients. De toute façon, viendrait un jour où ils auraient quelqu'un tous les deux et alors ces petits jeux cesseraient - dommage, d'ailleurs . Épiphanie imagina sa mère qui apprenait à quel point sa fille s'était dépravée depuis qu'elle avait quitté Londres et elle s'en amusa. Il faut dire que dans la capitale anglaise, la jeune femme avait toujours été la plus prude de leur trio, à s'offusquer à la moindre réflexion d'ordre sexuelle, riant comme une gamine aux sous-entendus, elle avait évolué. À présent, elle était plus mature dans beaucoup de domaines .
Sex is not the answer. Sex is the question. "Yes" is the answer. » Noah /chaud chaud cacao\