i'll be there for you when the rain starts to pour

« Je sors, man ! » dis-je en me précipitant vers la porte de derrière. « Mila, attends ! » entendis-je ma mère crier avant que je ne puisse refermer la porte. Je savais pertinemment, ce qu’elle allait me dire, soit elle allait prendre comme prétexte le fait que les cartons ne soient pas tous déballés pour m’obliger à rester à la maison, ou alors, elle allait me faire sa leçon de morale. C’est assise sur une des chaises de la cuisine, que je l’attendis. C’est presque en courant qu’elle entra dans la pièce, tout en me toisant du regard elle dit alors ; « Tu sais, tu ne devrais pas sortir, les cours reprennent demain et nous devons encore déballer tout un tas de cartons… » Voilà trois jours, qu’elle me sortait le même refrain et je commençais sérieusement à me sentir séquestrée. Je n’avais qu’une seule envie depuis qu’on était revenu à Salem ; sortir, voir si quelque chose avait changé, revoir Dawson mon meilleur ami… « Maman… Mes cartons sont tous déballés, et j’aimerais juste aller faire mon jogging, explorer la ville, voir si quelque chose a changé… » Il y eut une minute de silence, avant qu’elle daigne reprendre la parole ; « Ma puce, je préfère que tu restes ici encore aujourd’hui. » Qu’est-ce qu’elle pouvait m’énerver parfois, tout ça pour une histoire qui s’est passée il y a deux ans. « Maman c’est du passé, c’était il y a deux ans et cette histoire ne me concerne même pas je te signale. Ce n’est pas moi qui faisais partie d’une secte, ce n’est pas à cause de moi que nous avons du déménager et ce n’était pas ma vie mais bien celle de Maggie qui était en danger il y a deux ans. » C’est vrai que le passé de ma famille n’était pas tout rose, à cause de cette histoire de secte on avait fuit la ville craignant pour la vie de ma jumelle Maggie, qui avait voulu quitté cette secte sauf qu’on ne quitte pas une secte comme ça… Maintenant deux longues années ce sont écoulées, et cette histoire est derrière nous, je pense qu’on a tous murit, surtout ma sœur. Tout en soupirant ma mère s’approcha de moi et me déposa un baisé sur le front ; « sois prudente… » dit-elle tout bas, avant de retourner à ses cartons.

C’est tout en courant sur le song de Katy Perry, futuristic lover, que je remarquai que certains endroits que j’aimais fréquenté auparavant, avait fermé. En même temps, c’est un peu normal, en deux ans beaucoup de choses devaient avoir changé. Je me demandais si demain au lycée, j’allais reconnaître des anciennes connaissances ou plutôt si elles allaient me reconnaître… A mon avis, je devais être tombée dans l’oubli. C’est perdue dans mes pensées que je bousculai un homme, confuse j’enlevai mes écouteurs et fit face à l’individu. « Excusez-moi… » Dis-je complètement abasourdie par l’homme qui me faisait face. Grand, brun, athlétique, yeux verts… il n’était pas en ville il y a deux ans, c’était certain, sinon je l’aurais reconnu. « Ce n’est rien, c’est moi qui ne faisait pas attention ou j’allais… » Il marqua une pause avant de reprendre ; « Moi c’est Zackary Maxwell et vous devez être Mila. » Mon expression changea du tout au tout en entendant cela. Comment me connaissait-il ? Comment était-ce possible qu’il me connaisse puisque je revenais à peine ? Maxwell, comme Dawson Maxwell ? « Oui, c’est bien ça… On s’est déjà rencontré ? » Même si je connaissais déjà la réponse à la question, je préférais en être sure. « Non, pas exactement. Je suis le cousin de Dawson, il m’a souvent parlé de vous… Je dois bien avouer que j’avais hâte de vous rencontrer ! » Un peu gênée, je lui adressai un faible sourire avant de prendre la parole ; « Et bien maintenant c’est fait… Bon et bien, je pense que je devrais y aller. » Sans lui laisser le temps de rétorquer, je le dépassais et repris ma route. C’est quelques instants plus tard, que j’entendis une voix grave résonner derrière moi ; « Euh’ ce soir, vingt heures, ici même, ça vous va ? » Sur le coup, je fus heureuse d’avoir eu la bonne idée de ne pas remettre mes écouteurs et c’est le sourire accroché aux lèvres que je me retournai et lui dit ; « Peut-être que je serais là… » Bien sur, je savais à la minute même ou j'avais prononcé ces quelques mots que je viendrais, même si j’allais devoir sortir par la fenêtre.

Cher journal,
Je viens juste de passer une soirée tout simplement formidable. Enfin, si on oublie le fait que je me suis fait surprendre par mon père pendant que j’étais en train d’escalader l’arbre en face de la maison pour regagner ma chambre. Du coup, ça fait seulement trois jours que je suis revenue à Salem et je suis déjà privée de sortie. M’enfin, il faut bien prendre des risques dans la vie non ? Et puis je pense que cette fois-ci tout se passera bien, finit les histoires de secte et les mauvaises fréquentations… même si je dois avouer que mes fréquentations étaient tout à fait normal, c’est plutôt celles de ma sœur qui laissaient à désirer. Bref, elle a beaucoup changé en deux ans et on s’est également beaucoup rapprochée, je ne pense pas qu’elle commettra la même erreur que la dernière fois. En tout cas, j’ai l’impression que cette année s’annonce bien. C’est peut-être du au fait, que je viens de passer une soirée très agréable avec un homme tout à fait charmant, qui est déjà entré à l’université et qui est de trois ans mon ainé, c’est pour ça que mes parents ne doivent pas savoir avec qui j’étais réellement ce soir. Ils me tueraient, et oui, je suis leur bébé, un grand bébé de dix-sept ans qui va entrer en terminal mais bon. En tout cas, j’ai hâte d’être demain et de revoir mon meilleur ami Dawson que je n’ai plus vu depuis deux ans, oui, pendant tout ce temps on s’est contenté de se parler par téléphone, par msn… J’avoue que je suis un peu stressée, ce qui est complètement stupide puisqu’on se connaît depuis les couches. De toute façon, ça ne sert à rien que je me tracasse, je verrais bien demain comment ça se passera…Bref, je pense que je vais aller me coucher, j’entends mon père qui approche, surement pour vérifier si je suis toujours dans ma chambre, comme si j’allais sortir en cachette deux fois sur la même soirée !

Trois ans plus tard.

Assise sur un banc dans le parc situé prés de l’université j’attendais impatiemment Maggie, décidément la ponctualité ne deviendrait jamais son fort. Pour une fois que j’étais de bonne humeur et que j’avais une excellente nouvelle à lui annoncer il fallait encore qu’elle soit en retard et qu’elle me mette légèrement de mauvais poil. Ma sœur daigna pointer le bout de son nez, vingt minutes après l’heure convenue et c’est en tapant du pied que je l’accueillis. « Ah, enfin ! Je commençais à désespérer. » Après ces quelques mots elle m’adressa un grand sourire, avant de prendre place à côté de moi et de rétorquer ; « Désolé, mais j’étais… occupée… » Je levai un sourcil et la scrutai avec un regard interrogateur. Qui était ce nouvel homme qui venait d’entrée dans la vie de ma sœur ? Apparemment, elle ne voulait pas que je le sache puisque ça faisait maintenant un mois qu’elle évitait le sujet ‘garçon’ en ma présence, mais bon qui ne tente rien n'a rien ; « Bon sœurette, tu va enfin te décider à me dire qui est cet homme ? » je la fixai un court instant avant de reprendre ; « Pourquoi est-ce que tu me cache son identité ? Est-ce que c’est quelqu’un que je connais ? » Sincèrement j’espérais que non, enfin tout dépend de la personne, si c’est mon voisin ou encore le serveur au bar du coin ou le livreur de pizza je m’en fiche totalement… mais si c’est un de mes ex ou de mes proches, là c’est autre chose. C’est un peu prise au dépourvu qu’elle me répondit ; « Tu ne pourrais pas le connaître puisque je ne fréquente personne et puis je pensais que tu avais quelque chose à m’annoncer. » Et voilà, elle venait encore de changer de sujet comme à chaque fois, mais bon de toute façon je finirais bien par savoir qui est cet inconnu un jour ou l’autre… et puis en plus elle n’avait pas tout à fait tort, si je l’avais fait venir ici, c’était bien pour lui annoncer quelque chose, quelque chose d’important. Je pris mon courage à deux mains et me lançai ; « En effet j’ai une sacrée nouvelle à t’annoncer, une nouvelle que tu attends avec impatience depuis presque trois ans maintenant… » Je marquai une pause pour faire durer le suspense avant de reprendre ; « S’il te plait évite de t’évanouir, mais… je vais me marier !! » Sans prévenir, elle se leva et se mit à sautiller un peu partout autour de moi comme une gamine de cinq ans, tout en poussant des petits cris. « Tu es sérieuse ? Je n’arrive pas à y croire ! Il s’est enfin décidé à sauter le pas ! » lâcha t'elle entre deux cris. Prise d’une soudaine bouffée de joie et de bonheur, je me levai et me mit à l’imiter tout en lui tenant les mains.

« Je t’avais pourtant dit d’arrêter de boire, mais tu ne m’a pas écouté comme d’habitude. » C’est tout en faisant la morale à Dawson et en essayant de le maintenir debout que j’essayais d’ouvrir la porte de son appartement, mais sans succès. Dieu faite qu’il ne se soit pas trompé de clé, ai-je pensé sur le coup. « Dawson, ce n’est pas la bonne clé ou est la clé de ton appartement bon sang ! » Après ces quelques mots, qu’il mit au moins une bonne minute à assimiler, il me regarda bêtement avant de répondre ; « J’en sais rien moi… Comment je le saurais, d’ailleurs ? Ce taudis n’est pas mon appart’ » Sur le coup, j’eus la furieuse envie de lui foutre trois claques en pleine figure mais de toute façon ça n’aurait servit à rien, même une bonne douche froide ne servirait à rien dans l’état ou il est. Ça m’apprendra à lui annoncer une bonne nouvelle dans un bar. Il était tellement content quand je lui ai appris que j’allais me marier qu’il a payé une tournée à tout le monde, puis il a bu encore et encore… et voilà que maintenant, il ne reconnaît même plus sa maison. « Bah si, figure toi que c’est bien ici que tu habites et d’ailleurs je t’avais dit de ne pas louer ce trou à rats. » Après quelques minutes pendant lesquels je fouillai dans les poches de mon meilleur ami, ainsi que sous le paillasson et sous le pot de fleur je me résignai à l’emmener chez moi, de toute façon Zack n’était pas là ce week-end.
Je fus plus qu’heureuse de retrouver la chaleur de mon appartement, et pendant que Dawson était couché ivre mort sur mon canapé j’en profitais pour envoyer un texto à mon futur mari, quand ceci fut fait j’allai déposer une couverture sur mon ami et m’assis à côté de lui. Après quelques minutes de silence, silence qui ne me parut pas long mais plutôt reposant, Dawson finit par prendre la parole ; « Pffff’ c’est bien un truc qui ne m’arrivera jamais… » Je ne compris pas sur le coup qu’il voulait parler du mariage, du bonheur d’être en couple et tout le tra la la… j’ai d’abord cru qu’il divaguait complètement mais j’ai finis par comprendre. « Ne soit pas si pessimiste, tu es un mec génial, gentil, généreux, marrant, je ne vois pas pourquoi ça ne t’arriverait pas, d’ailleurs je suis sure que tu finiras par rencontrer une fille super, avec qui tu partageras le même bonheur que Zack et moi partageons. » Il ne me répondit pas. Quelques instants plus tard, je me levai et lui déposai un baisé sur le front, avant d’avoir pu atteindre ma chambre, il me dit ; « Tu feras une superbe mariée Mimi… »

Un an plus tard.

« Tu es magnifique. » souffla ma mère en contemplant le résultat final. Je décidai alors de me retourner pour mieux m’admirer, et en effet le reflet que j’observais dans le miroir ne donnait pas aussi mal que je l’avais pensé. Malgré tout, j’avais l’impression que quelque chose clochait, pourtant la robe était parfaite, adaptée à ma silhouette, le voile blanc retombait juste bien, mon chignon était très réussit aucune mèche rebelle ne dépassait…Mais j’avais tout de même l’impression que quelque chose n’allait pas. Vous savez, comme un mauvais pressentiment. Je n’avais pas reparlé à Zackary depuis hier, ni à Dawson qui m’avait promis de veiller sur mon fiancé et de ne surtout pas l’emmener dans un club de striptease. Je fus tirée de mes pensées par la voix de ma sœur ; « Oh Mimi ! Tu es époustouflante ! » C’est le sourire rivé aux lèvres que je la remerciai, avant d’ajouter ; « Tu as croisé Zack, ou encore Dawson ? Dit-moi, qu’ils sont en train de se préparer ! » J’espérais sincèrement, que sa réponse allait être positive. Peut-être que j’étais en train de me faire des fausses idées pour rien, mais en ce moment j’avais sacrément besoin d’être rassurée. C’est un air confus affiché sur le visage qu’elle me répondit ; « Euh’ non, je ne les ai pas vu. » Elle du voir mon regard changer puisqu’elle ajouta ; « Mais ne t’en fait pas, je suis sure qu’ils se préparent à ce moment précis et puis ton mari est entre de bonnes mains avec Daw’. » C’est vrai qu’après tout, je n’avais pas de quoi m’inquiéter. Aujourd’hui c’est le grand jour, rien ne pourra gâcher cette journée ni même mon bonheur.

Plus le temps passait et plus ma boule au ventre qui s’était formée il y a de cela dix minutes grandissait. J’étais là, à attendre, devant l’énorme porte en bois de l’église de Salem. Il y a dix minutes de cela j’aurais du faire mon entrée et pourtant, je devais attendre, immobile devant cette porte. Ma sœur m’avait rejoint les cinq première minutes, elle avait finalement décidé de partir à la recherche de Dawson et Zack, avant de partir elle avait prononcé cette phrase ; « ne t’en fait pas, je te ramène ton mari… » Sur le coup, je ne m’en faisais pas, après tout ce n’est pas si grave d’être en retard. Mais maintenant, je comprenais. Ce n’est pas normal d’être en retard pour son mariage, c’est certain quelque chose clochait bel et bien, et je le sentais depuis ce matin. Plus le temps défilait et plus les larmes me montaient aux yeux. Mais que pouvait-il bien faire ? Ou était passé mon fiancé ainsi que mon meilleur ami et ma sœur ? Vingt minutes venaient de s’écouler et la peur envahissait tout mon corps, une légère grimace commençait d’ailleurs à crisper mon visage. Je ne devais pas pleurer, je ne pouvais pas pleurer, ce serait un drame, mon maquillage coulerait et le mariage dont je rêvais serait gâché à cause d’un foutu maquillage. A la trentième minute, ma mère ainsi que mon père me rejoignirent devant cette porte. Mon père m’entoura les épaules avec son bras et ma mère me prit la main droite. Le fait qu’ils soient là n’arrangeait pas les choses, le fait qu’ils soient la me donnait encore plus envie de pleurer, pourtant je ne perdais pas espoir. Même à la quarantième minute, quand mes mains ont commencés à trembler et que j’ai vu des invités sortir par la porte derrière, je n’ai pas craqué. C’est au moment ou je commençais à perdre espoir que Dawson arriva accompagné de Maggie. Tout de suite mon sourire est revenu, Dawson était là, je me disais donc que mon fiancé ne devait pas être loin et pourtant... Quand il m'aperçut, je vis le visage de mon meilleur ami se décomposer. Sans prévenir, j’éclatai an sanglot et les larmes jaillirent de mes yeux. Mon père du me soutenir pour ne pas que je tombe par terre, puisque mes jambes venait de flancher. La voix tremblante je m’écriai alors ; « Non ce n’est pas possible ! Dite moi que ce n’est pas possible ! Il va venir, il doit venir, il ne peut pas me laisser ici, il ne peut pas m’abandonner ! Oh non dite moi que ce n’est pas vrai… »
Pendant encore trois heures, je restai assise sur les marches devant cette immense porte en bois, à l’attendre, tout en pleurant, en compagnie de Maggie et Dawson, tout deux silencieux.

Trois ans plus tard.

« Mais non, puisque je te dis que ça ne me dérange pas du tout ! En plus je suis sure que Daw’ sera content. Vous vous entendez bien, non ? » Si seulement j’avais su, qu’avant ils s’entendaient même plus que bien. En effet, ma jumelle avait entretenu une relation avec mon meilleur ami il y a de cela trois ans, avant que celui-ci décide de partir avec moi vire à Boston. « Bon, puisque ça ne te dérange pas… » Répondit Maggie, en oubliant volontairement la dernière question de sa sœur. Je lui souris alors avant d’appuyer sur le bouton du vieil ascenseur un peu lent. C’est quand je fus à l’intérieur de celui-ci, que je remarquai que Maggie tripotait nerveusement ses mains. Qu’avait-elle donc ? Tout en fronçant les sourcils, je lui demandais ; « Y’a quelque chose qui te tracasse Mag’ ? » Son comportement me sembla encore plus suspect lorsque je la vis se mordiller la lèvre supérieure. Apparemment elle ne semblait pas savoir quoi répondre. Quand elle remarqua que je l’observais, elle s’empressa de répondre ; « Non, ça va, tout va bien… Pourquoi penses-tu que quelque chose me tracasse ? » Je ne posai plus de questions. De toute façon, je finirais bien par découvrir ce qu’il se passe. Malgré la lenteur de l’ascenseur, on finit tout de même par arriver au quatrième étage. Je trifouillai dans mon sac à main pour chercher la clé de l’appartement qui ne me servit à rien puisque quand j’arrivai devant la porte, je constatai qu’elle n’était pas fermée à clé… Dawson devait être rentré. Tout en ouvrant la porte je dis à Maggie ; « Je t’en prie entre, bienvenue chez moi. » Je finis par rentrer à mon tour et c’est là, que mon regard croisa celui d’un visage que je connaissais trop bien ; Zack. Je me retournai alors vers Dawson, qui faisait exactement la même tête d’ahurit que moi et je m’écriai ; « QU’EST-CE QU’IL FOU ICI ? » je n’eu pas le temps de terminer ma phrase que j’entendis mon bff s’écrier ; « QU’EST-CE QU’ELLE FOU ICI ? »

Cher journal,
Voilà maintenant trois jours, que je vis en cohabitation avec Zackary et je n’arrive déjà plus à le supporter. Son sourire sarcastique m’énerve, ses réflexions m’énerve, le fait qu’il utilise de temps à autre ma salle de bain m’énerve, le voir se balader torse nu m’énerve, tout m’énerve chez ce type. Je me demande bien comment j’ai pu rester avec lui pendant quatre ans ! J’essaye de l’éviter le plus possible, mais ce n’est pas si simple, nous vivons dans un appartement… C’est la galère, je ne sais pas comment je vais faire pour le supporter, en plus il ne tente même pas de s’expliquer, je ne sais toujours pas pourquoi il ne s’est pas présenté le jour de notre mariage. Vient s’ajouter à tout ça, les cris de Maggie et Dawson. Mais qu’est ce qu’ils ont ces deux là ? Je pensais qu’ils s’appréciaient un minimum pour pouvoir vivre ensemble ! Ou alors ils me cachent un truc ? C’est vrai quand je rentre dans une pièce et qu’ils sont là, ils se taisent, ils se disputent pour des choses futiles… C’est la merde, je suis dans la merde, rien ne va comme il faut !