Sujet: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me. Dim 13 Fév - 17:00
❝Daphné Gwendolyne Von Bart❞
✎ T'ES COMMENT SINON DANS LA VIE ?
Moi c'est Daphné Gwendolyne Von Bart et j'ai 27 ans. Je suis née le 22 juin 1983 à San Francisco vers 23 heures, mais on s'en fiche de ça. N'est ce pas ?. En ce moment, je vis à Boston, USA et je m'y sens parfaitement bien, c'est le genre d'endroit génial pour recommencer à zéro . Je suis d'origine américano-finlandaise et on dit souvent que cela se remarque. Ma vie sentimentale, y a pas grand chose à en dire sérieusement, je suis en couple depuis peu et j'avoue que ça me va très bien comme ça. Pour m'occuper sinon je suis infirmière et cela depuis déjà 2 ans. J'adore le chocolat et le fanta orange et les poissons rouges et je suis dans le groupe round fish makers
✎ TU ES GENTIL OU MECHANT ?
✎ TON APPARTEMENT DE RÊVE IL SERAIT COMMENT ?
Honnêtement, j'ai toujours rêvé de vivre à Paris, c'est vrai quoi, je trouve cette ville tellement belle ! Mais au lieu de ça j'ai terminé ici. Ce n'est pas plus mal me diriez vous.... J'aurais aimé avoir un grand appartement blanc et beige, avec un belle escalier en marbre. Des fleurs dans l'entrée, oui, des hortensias ! Comme Blair Waldorf ! Sauf que je ne suis pas Blair Waldorf et je n'ai pas son appartement. J'ai seulement le mien à Boston : avec du papier peint gris suicidaire, mon lit-canapé, mon bocal de poisson rouge et les seules fleurs que je reçoit sont celles que ma famille m'envoie tous les mois.
✎ TON VOISIN IDÉAL SI TU DEVAIS LE DECRIRE ?
Mon voisin idéal ? Intelligent, beau & riche. Nan. Pas possible. Il en faudrait trois si je désire ces qualités là. Hahaha, vous me trouvez drôle non ?! *toussotement* Je crois que j'aimerais quelqu'un de sympa, parce que les chieurs et les traînées en tout genre, c'est bon j'ai assez donné ! Quelqu'un avec qui discuter, de tout et de rien, je veux pas de prise de têtes... J'ai pas besoin de prise de têtes... Quelqu'un a qui je pourrais emprunter du sucre sans jamais lui rendre parce que j'ai la flemme d'aller en acheter au supermarché du coin, quelqu'un qui pourra me prendre dans ses bras après un autre de mes cauchemars, quelqu'un qui ne posera pas de question, quelqu'un à qui je tiendrais...
Spoiler:
▷ pseudo/prénom. vous pouvez m'apeller Clem ▷ âge. 16 ans, l'âge où on a encore le droit de faire des conneries xD ▷ tu viens d'où ? grâce à la pub sur Bazzart. ▷ & t'aimes le fo ? Tu le trouve comment ? juste orgasmocosmique ▷ c'est ton dernier mot ? C'est mon dernier mot Jean-Pierre
Dernière édition par Daphné G. Von Bart le Mar 15 Fév - 13:27, édité 12 fois
Daphné G. Von Bart DAPH' → roses have thorns they say.
Sujet: Re: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me. Dim 13 Fév - 17:01
i'll be there for you when the rain starts to pour
"It's funny how, the walk of life, can take you down without a fight."
Mon nom c'est Daphné. Le prénom que ma mère déteste le plus au monde. C'est mon père qui a choisi mon prénom, ma mère devait être shootée par la péridurale pour accepter ça ! J'avais 13 ans quand ma maladie a été détectée par les médecins : le 15 octobre 1996.
Au début nous étions quatre. Au début, c'était papa, maman, Elliot et moi. Nous marchions tous les quatre les uns à côté des autres dans les couloirs blancs de l'hôpital. Nos quatre corps se collaient, nous avions peur du blanc, de l'odeur, de la maladie, de l'inconnu et des blouses blanches. Je crois que c'est maman qui avait le plus peur entre nous tous, je crois que c'était la seule qui avait compris en faite. Elle avait compris la suite. Mon père s'arrêta un instant près d'une infirmière et il parla pour la première fois depuis qu'on avait quitté la maison ce matin. " Excusez moi, nous avons un rendez vous avec le Dr. Jonhs. " La belle infirmière sourit et nous indiqua une grande porte blanche. A chaque fois que je pénètrais cette porte, mon coeur battait très très vite, à chaque fois qu'on me prépare pour un examen mon coeur bat à toute vitesse. C'est bizarre. Et mon coeur bat. Boum. Boum. Boum. Et puis, on s'assoit, on attend, on rit, on sourit, on angoisse, on attend les résultats des analyses. Mais surtout, on se fixe, moi je les fixe tous les trois, je fixe ma mère surtout. Je sens la peur qui suinte de chacun de ses pores, je n'ai que quatorze ans mais j'ai compris. Ils disent que j'étais déjà très intelligente pour mon âge, trop intelligente. Ce n'est pas vrai, j'ai juste compris ce qu'on comprend en une vie. Mon frère releva la tête un instant de son magazine et dit : " L'hôpital c'est un peu notre sortie du week end en famille. " C'était bête, c'était cruel. Oui, mais je rigolais aux paroles d'Elliot. Et la claque partit, sifflante, sur la joue droite de mon frère. Ma mère l'avait gifflé, elle tenait à un fil, elle était sur le point d'exploser à cause de tout ça ! Le rire amer de mon frère résonna dans la salle d'attente. Il la haïssait cette putain de maladie, il la haïssait plus que moi ! Avec le temps, je m'étais résignée, j'avais accepté la maladie. J'avais accepté l'inacceptable. Et je les aidais à voir "la suite" avec pleins de couleurs, je les aidais avec mes dessins et mes sourires. Je leur disais que ce n'était pas si grave, que, au fond ce n'était pas comme si j'allais mourir dans quelques minutes.... Papa, je te fixe sans un mot, tu ne dis rien. Pas ici. On ne parle jamais de la maladie mais on devrait, on devrait vraiment en parler... Tu sais, je vais encore vivre dix ans ! Tu sais, je vais encore respirer, rire, chanter, bouger, danser, sourire... Tu sais papa, je ne suis pas morte. Tu croyais échouer là où tous les autres pères réussissaient, mais c'est vraiment impossible papa ! Et ça t'as tellement tué de me voir rechuter que le super héros qui m'avait appris à gagner des vies sur la Nintendo était terrassé devant la maladie.
Je me souviens que c'est la pire chose qui est arrivée à notre famille. Nous n'étions pas de ces gens là, de ces gens malchanceux à qui il arrive des choses malheureuses sans raison. C'était la pire chose : cette putain de maladie.
Alors, on est prête ? m'a dit le médecin. Je n'ai pas répondu, j'ai souri et, dans mon sourire, il a choisi ce qu'il voulait : il a choisi oui, je suis prête. Mais, dans le fond, je n'en savais rien. Je voulais ce que Joshua voulait. C'était un joli garçon, mais on n'en voulait pas. On est trop jeunes on disait d'une seule voix, la sienne en fait, moi je me fais traiter pour ma maladie, alors je ne me trouvais ni trop jeune ni pas trop jeune, j'avais vingt et deux ans, le même âge que maman quand elle était enceinte de moi, elle aussi on avait dû lui dire qu'elle était trop jeune, mais elle m'avait gardée, elle. Joshua ne voulait pas d'enfant. Pas encore. On a le temps, il disait, on a le temps. Le temps de quoi ? Le temps de ne plus s'aimer, le temps de se séparer, le temps de se quitter, le temps que je meurs, le temps de faire cet enfant avec une autre, le temps de lui donner le prénom qu'on avait choisi ensemble. C'est pas celui-là qu'il voulait. C'est pas avec moi qu'il le voulait. J'étais toujours malade, mais il n'y avait pas encore le vide en moi, le flottement. Mais quand même, c'était pas le moment.
Depuis, je prends la pilule tous les jours. Vraiment tous, même les jours où il faudrait s'arrêter pour avoir ses règles. Moi, je ne m'arrête jamais, et depuis cinq ans je n'ai plus mes règles. Moi, depuis cinq ans, tous les matins, avant de savoir quelle heure il est, quel jour on est, qui je suis, où je suis, qui dort à côté de moi, je prends la pilule et, comme ça, je n'ai plus jamais les règles dégueulasses des femmes dégueulasses qui ont des enfants et les seins qui gonflent. Il aurait cinq ans, maintenant. Il s'appellerait Adrien, et il aurait cinq ans.
C'est après l'avortement que je me suis vraiment mise à croire qu'il me manquait quelque chose : pas assez femme, pas assez adulte, trop malade, pas assez regard de tueuse, pas assez bien pour avoir un enfant avec lui, pas à la hauteur, pas assez tout, je me suis sentie, tout à coup, comme une chenille recalée à l'examen papillon. C'est après l'avortement qu'il s'est mis à sortir de plus en plus souvent de son côté, sans moi, des fêtes, des mariages, des boîtes de nuit, des dîners auxquels je n'allais plus parce que je pensais que j'allais faire des gaffes, dire des bêtises pas si graves moi je trouvais, mais dont il me dirait, après, le visage blême de rage, les mâchoires serrées, qu'elles l'avaient humilié, déshonoré, qu'elles avaient flingué sa carrière sérieuse de chef d'entreprise. J'ai le souffle coupé, l'impression de m'être pris un coup de poing entre les deux yeux, une douleur atroce m'irradie tout entière, de celles qu'aucun mot, qu'aucun geste ne peut consoler et qui fait ruisseler sur mes joues ces larmes amères, ces vraies larmes dont on oublie le sens à force de les verser pour des futilités et qui pleurent le bébé que j'avais dans le ventre et qui ne naîtra jamais... C'est là, pendant ces soirées tellement tristes où c'est moi qui finalement préférais rester à l'appartement, avec les poissons rouges, à fumer des cigarettes en jouant avec mon ordinateur et à penser au moment où il ne me proposerait même plus de l'accompagner, où il n'insisterait plus, même pour la forme, et où il rencontrerait une fille plus belle, plus amusante, plus guerrière, plus regard de tueuse, c'est à ce moment-là que tout a commencé et que je l'ais quitté.
C'était marrant, avant, de discuter avec lui. C'était marrant quand j'aimais tout de lui, lui en bloc, ses faiblesses, ses défauts, je les aimais aussi ses défauts, et j'aimais quand on discutait, j'aimais avoir tort contre lui, et raison avec lui, et l'embrasser, et lui couper la parole pour lancer oh là là tu as la peau douce, et jouer au bébé, et jouer à l'adulte, et mettre un doigt dans sa bouche pendant qu'il parlait pour l'énerver un peu, toucher ses dents, lui retrousser le nez, le malmener, je lui appartenais, il m'appartenait, il le sait bien qu'on était comme ça. Là, j'ai plus envie. Je n'ai même pas de peine. Je voudrais bien, mais je ne peux pas, je te trouve trop assommant, presque risible, et puis je suis devenue un bloc d'égoïsme maintenant, rien ne se glisse entre moi et moi, ni la tristesse ni le malheur, je ne laisse entrer que le plaisir, oui, j'ai cette capacité-là, moi, de filtrer ce qui m'arrive, de choisir, j'ai choisi de ne pas être triste, ou quelque chose en moi a choisi pour moi, je ne sais pas, je n'ai pas envie de savoir, ça ne m'intéresse pas.
" There are leftovers in the fridge, i'm not coming home for lunch. I love you. " J'ai balancé notre routine sur un bout de papier jaunit, je l'ai laissé au milieu de la table, je suis sorti. Mon amour se lève bien après, mon amour ne travaille pas. C'est une artiste, elle passe sa vie dans l'atelier, à griffonner, à barbouiller, trop de couleurs sur trop peu de liberté. J'aime bien ce qu'elle fait, je pensais qu'on s'en rendrait vite compte, c'est moi qui me suis aperçu rapidement, que j'étais la seule à trouver ça dément. Mon amour, elle se dit artiste maudit, elle en veut à la société, elle s'enferme et se crée un monde, elle peint, elle dessine, sa rancœur contre la nature humaine. Et c'est toujours la même rengaine. Oh mais je l'aime. Quand elle quitte ses pinceaux et me sert contre elle, qu'elle me prend pour sa plus belle œuvre d'art, parfois même elle me dit, qu'elle regrette de ne pas m'avoir crée de ses mains. Alors elle glisse ses doigts le long de mon corps aminci, elle imagine qu'elle me reconstruit. C'est tout elle. Elle me griffe les hanches et moule mes épaules, elle me chéri. C'est tout elle. Je vais travailler aujourd'hui. Comme hier, comme demain. Comme depuis des mois. Les rues de Boston sont désertes, mais le bus est bondé. On se marche dessus, on se méprise, on s'assassine, si vous le pouviez, vous vous démoliriez tous entre vous. C'est pire que dans la jungle. C'est la nature humaine, celle qu'elle déteste, mon amour. Le quotidien est démentiel, surtout, il rend aveugle. Je m'assois négligemment, je cache mon regard absent, je ferme les paupières. Mais une présence me pèse, la chaleur de ses yeux posés sur moi. Je sais. Je sais que c'est maintenant que tout change. Assise au fond du véhicule, face à l'allée désormais dégagée. Elle a, le regard triste, le regard noir, les cheveux en pétard. Les joues noircies par l'eye-liner, elle pleure depuis des heures. Je le sais. A son cœur qui se dresse, qui déchire le silence. Je sais. Mille pensées se bousculent dans ce crâne enfumé, elle brûle, elle voudrait hurler, je sais. "My lover is gone.". Elle dit. "My lover is gone." Comme une demeurée, elle répète sans arrêt, "I loved him.". C'est pas mon amour qui me quitterait. Mais j'en arrive à me demander, qui est la plus à plaindre. Elle a l'air en vie, derrière ses lèvres rougies, écorchées à force de les griffer, elle bouillonne d'émotions, elle ressent, la haine, la rancœur, le désespoir. Mais elle ressent. Et moi j'ai oublié. Mon amour, pourquoi tu ne me fais jamais de mal, pourquoi je m'ennuie quand je suis chez nous, pourquoi je n'ai plus de rêves, que ceux que je fais quand tu me fais l'amour. Je rêve d'ailleurs.
Peut-être qu'un jour, on te retrouvera au milieu de ton atelier, parmi les pinceaux, les pots de peintures et tes toiles déchirées, le regard absent et le cœur mourant, après des jours de solitude à pleurer dans le noir, peut-être qu'on te retrouvera, comme cette femme qui dégueule son désespoir, que tu murmureras du bout des lèvres, "I've lost my lover.". Mais pour l'instant je retourne travailler. N'oublie pas mon amour. Je t'ai laissé un morceau de tarte au frigo.
J'observais Epiphanie se déplacer avec facilité dans mon appartement, elle le connaissait si bien à force de venir me rendre visite très souvent. Il y avait ce lien qui s'était crée entre nous au fil de nous, un lien solide et amusant dont je ne me lassais pas. Epiphanie était le genre de personne à beaucoup dramatiser mais le genre de personne à qui on s'attache fatalement au bout du compte. Le genre de personne à qui je m'attache facilement ! Elle a cette lueur de vie dans le regard que l'on a pas envie de voir s'éteindre, cette lueur de vie qui reste malgré la tristesse et la colère. Elle a cette lueur et cette fierté naturelle que je lui envie. Elle s'assoit sur le canapé et allume la télé nonchalamment. D'un pas léger je me dirige pour ma part vers mon frigo qui débordaient de yaourt aux parfums multiples et de bouteilles de fanta orange. "Prends tes médicaments, Ep' ! " La jeune brune se retourna vers moi avec l'air exaspérée. Oui, je suis quand même infirmière, je prends mon rôle à coeur ! " Hé ! Toi t'es malade et je te répète pas sans arrêt que tu dois prendre des médocs'... " J'attrapais une bouteille de fanta et l'ouvris rapidement. " T'es en dépression je te rapelle. " Epiphanie prit un air faussement outrée en posant une main sur son coeur d'une façon théâtrale, qui me fit sourire. " Tu vas mourir je te rapelle ! " Je soupirais, ça devait être la troisième fois de la journée qu'elle me le rappelait, et puis mon amie avait des manières de maman poule surprotectrice avec moi, qui m'exaspérait mais qui au fond m'amusait... "Je vais me suicider avec des yaourts périmés, si tu continues de me le répéter tout le temps !"
Dernière édition par Daphné G. Von Bart le Mar 15 Fév - 12:27, édité 9 fois
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Sujet: Re: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me. Dim 13 Fév - 17:05
NATALIE Bienvenue
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Sujet: Re: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me. Dim 13 Fév - 17:06
NATHALIE C'MA SECONDE FEMME Bienvenue sur le forum & amuses toi bien Par contre, tu as mis 19 ans à ton personnage, si tu pouvais la vieillir un peu, d'autant que Nathalie doit avoir dans les 28-29 ans ?
Invité Invité
Sujet: Re: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me. Dim 13 Fév - 17:09
Tu as bien fait de prendre Natalie du coup. Bienvenue hein.
Sujet: Re: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me. Dim 13 Fév - 17:13
IAN & KATIE et pour l'âge j'ai changé ça c'était une erreur, je voulais mettre 27 ans je sais pas pourquoi j'ai mis 19 oui j'ai bien fait t'as vu ça
breef, merci vous quatre
Invité Invité
Sujet: Re: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me. Dim 13 Fév - 17:24
Merci d'avoir changé Je veux un lien, c'est obligatoire & tu n'y échapperas pas d'ailleurs, je vais te Mpotter de ce pas, parce que j'aime trop Natalie quoi
Lena-Everleigh Fields
NEW ARRIVANT → Back off ! You're standing in my aura.
Sujet: Re: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me. Dim 13 Fév - 18:44
OH NON UNE MAGNIFIQUE NATALIE PORTMAN INFIRMIERE !
( faut savoir que j'ai un scéna avec Hayden C. en interne en chirurgie et que Hayden et Natalie sont trop cute tout les deux, j'ai peur pour moi xD ) BIENVENUE
Daphné G. Von Bart DAPH' → roses have thorns they say.
Sujet: Re: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me. Mar 15 Fév - 12:30
han mais oui ma chère Daisy
Fiche terminée Pour la partie avec Epiphanie elle est assez petite, je m'en excuse xD Donc Epichou si tu passes par là, j'espère que cette partie correspond à ton perso'
Invité Invité
Sujet: Re: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me. Mar 15 Fév - 12:52
Daphnée, TMTC j'te kife, & j'adore ta fiche aussi Je te valide ma choupinette <33
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Sujet: Re: DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me.
DAPH' ♕ I am the ocean, I am the sea : there is a world inside of me.