KNOCK ON YOUR DOOR
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-11%
Le deal à ne pas rater :
Smartphone 6.36 ” Xiaomi 14 (12 Go / 256 Go
641 € 719 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Autumn L. Hill
NEW ARRIVANTBack off ! You're standing in my aura.

Autumn L. Hill

✂ EMMÉNAGEMENT : 25/02/2011
✂ TAPAGES NOCTURNES : 16

LET'S EXCHANGE RECIPES
✂My age: vingt-deux automnes.
✂My job: étudiante en littérature et employée d'un petit magasin le weekend.
✂My neighbors:

how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) Empty
MessageSujet: how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël)   how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) Icon_minitimeLun 28 Fév - 0:03

how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) 2zsa0bb
« how do you call it? ah yes, destiny. ★ »
Profondément endormie dans son lit, enroulée dans sa couette, Autumn rattrapait les heures de sommeil qu’elle n’avait pas eues durant toute la semaine. C’était samedi matin et elle avait rendu la veille un travail de littérature qui se voulait terriblement conséquent pour la suite de ses études. Elle avait passé toutes ses nuits depuis une dizaine de jours à travailler sur cet essai et maintenant qu’il était terminé, la belle New-Yorkaise avait prévu de faire la grasse matinée pour récupérer. C’était sans compter que ses adorables voisins avaient tendance à jouer les troubles-fêtes à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Quelqu’un cria dans l’appartement d’à côté, ce qui réveilla Autumn d’un seul coup. Elle fut tout de suite prise de nausée et elle porta sa main à sa bouche tandis qu’elle essayait de calmer les battements de son cœur. Chaque matin c’était le même numéro : elle se faisait toujours réveiller en sursaut et malheureusement pour elle, cela lui donnait mal au cœur. Une fois calmée mais malheureusement toujours nauséeuse, elle regarda son réveil-matin qui annonçait à peine neuf heures du matin. Elle reporta alors son attention sur le mur à côté d’elle et fronça les sourcils ; elle commençait à se sentir très lassée. Un bruit de guitare signalant que l’instrument se faisait accorder parvint à ses oreilles, avant de se faire de plus en plus fort. Bientôt il fut accompagné par une basse, dont les vibrations n’étaient pas loin de faire trembler l’étage. C’était tout de même rare qu’ils fassent un pareil boucan aussi tôt le matin. Autumn se leva sans tarder et se mit debout sur son lit. Plus qu’énervée, elle prit son courage à deux mains et commença à frapper énergiquement contre le mur. « Eh oh, faut pas pousser ! C’est même pas neuf heures et on est samedi ! » Elle se laissa ensuite tomber sur son lit et lâcha un énorme soupir. Ils ne l’avaient sûrement pas entendue. Elle allait devoir parler à Jaeden prochainement, car si lui aussi se mettait à faire du bruit… ça allait chauffer, aussi proches qu’ils soient.

Désormais complètement réveillée, Autumn se glissa dans ses pantoufles et quitta sa chambre. Son chat arriva en trombe au pas de la porte et frotta sa tête contre les jambes nues de la jeune femme, réclamant son quart d’heure matinal de câlins. Un sourire sur les lèvres, la New-Yorkaise se pencha pour attraper l’animal et le prit dans ses bras. Elle se dirigea ensuite dans la cuisine, déposa Calypso sur la table et se servit un verre de jus d’orange, en espérant que boire quelque chose ferait passer sa nausée. Aucun effet. La jeune femme grimaça et posa le verre vide dans l’évier avant de retourner dans sa chambre, le chat à ses talons. Dans l’appartement d’à côté, la musique était toujours aussi forte, même si la basse semblait s’être arrêtée. Elle demanderait à Jaeden quel instrument il jouait ; d’après elle, il était le moins bruyant des deux et devait donc sûrement être le bassiste. L’autre abruti qui lui servait de colocataire était très certainement le guitariste, puisqu’il était le plus bruyant. Levant les yeux au plafond, elle soupira à nouveau. « Il faut que je sorte d’ici, sinon je vais devenir folle. » Elle se prépara rapidement, sans oublier coiffage et maquillage. Puis elle attrapa son sac à main, embrassa Calypso et quitta l’appartement. Elle ne put s’empêcher d’aller frapper quelques coups sur la porte de ses chers voisins pour signaler son mécontentement. De toute façon, avec tout le bruit à l’intérieur, ils ne l’entendraient pas.

Alors qu’elle descendait les escaliers et qu’elle avait presque atteint le rez-de-chaussée, Autumn fut prise d’un doute. Elle s’arrêta d’un coup et ouvrit son sac, farfouillant à l’intérieur. Ses doutes se révélèrent fondés : elle avait oublié son téléphone portable à l’appartement. Elle fit demi-tour et s’apprêtait à remonter les escaliers pour aller le rechercher lorsqu’elle tomba nez à nez avec le blond hyper mignon qu’elle croisait de temps en temps dans l’immeuble. Loin de se douter qu’il s’agissait en fait de son désagréable voisin, elle ne put réprimer le sourire qui lui brûlait les lèvres lorsqu’elle croisa son regard. Le bel inconnu répondit à son sourire et continua son chemin. Sans savoir pourquoi, Autumn comprit qu’elle devait tenter sa chance et lui adresser la parole. Oui, mais pour dire quoi ? « Excusez-moi ! » Il se retourna vers elle et la fixa sans rien dire. Alors elle se sentit idiote, car elle n’avait pas la moindre idée de ce qu’elle pouvait dire. « Je… Je… J’ai perdu une de mes boucles d’oreille, vous pourriez m’aider à la retrouver ? S’il vous plaît. » Ah bravo, c’est très intelligent comme première conversation… vraiment, y a pas plus idiot ! Autumn se maudissait intérieurement pour avoir dit une chose pareille. Mais elle l’avait fait et maintenant elle devait donner le change. Elle porta alors soudainement sa main à son oreille droite et enleva discrètement la boucle en faisant semblant de masser son lobe. Le jeune homme ne semblait pas avoir vu son tour de passe-passe. Elle fit mine de chercher autour d’elle et c’est alors qu’elle réalisa qu’ils étaient sur les escaliers. « Enfin… Je pense qu’elle a dû tomber en bas, non ? » … Idiote.
Revenir en haut Aller en bas
Nataël Adonis Dawkins
NEW ARRIVANTBack off ! You're standing in my aura.

Nataël Adonis Dawkins

✂ EMMÉNAGEMENT : 13/02/2011
✂ TAPAGES NOCTURNES : 146

how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) Empty
MessageSujet: Re: how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël)   how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) Icon_minitimeLun 28 Fév - 19:36

Un calvaire. C'était réellement le mot approprié à ce que je venais de vivre durant la nuit entière. Entre les nausées, les vomissements et le mal de crâne invivable, se fût une nuit d'enfer. Si j'étais une femme, je me serais posé des questions sur la date de mes dernières règles et mes dernières relations sexuelles, mais je n'avais pas à me tracasser, j'étais bel et bien un mec, un vrai. Au total, j'avais du dormir seulement deux petites heures et passer le reste de la nuit dans les toilettes. Mon pauvre colocataire, Jaeden, avait lui aussi eu une mauvaise nuit et cela à cause de moi, bien entendu. Il m'avait plusieurs fois proposé de se rendre à la pharmacie de garde, mais je n'aimais pas prendre des médicaments, j'étais un peu "chochotte" sur les bords je l'avoue. Dans tous les cas, il avait pleins de bonnes attentions envers moi et j'allais certainement lui devoir beaucoup en retour, c'était tout à fait le genre de Jaeden : être gentil pour recevoir plus en retour.

Au petit matin, c'est-à-dire dans les environs de huit heures trente, je pris une bonne et longue douche tandis que Jaeden jouait déjà de la guitare. Après ce moment de détente, je me sentais déjà un peu mieux, mais toujours sur les nerfs à cause du manque de sommeil. J'étais du genre ronchon quand je n'avais pas assez dormi et aussi quand un mal de tête était si violent. J'enfilais mon pull bleu préféré puis un simple jeans et retourna dans la pièce principale, où Jaeden continuait de jouer. Le son de la guitare devenait insoutenable pour ma tête et je commençais même à m'interroger sur notre voisin(e) qui ne s'était pas plaint depuis notre emménagement - c'est-à-dire 4ans - , était-ce un vieux sourd ou alors un drogué de pop/rock se fichant du bruit à n'importe quelle heure de la journée. Il faudrait peut-être chercher à sympathiser avec notre voisin, ça n'était pas une mauvaise idée puisque cette fameuse personne avait toujours eu la gentillesse de ne pas nous réprimander. En tout cas, le voisin n'était pas ma source de préoccupation ou de réflexion d'ailleurs, c'était plutôt le boucan que faisait mon coloc' qui commençait à me tuer à petit feu. « Jaeden! Stop, arrête ce vacarme. J'en peux plus de tout ce bruit. » ; la seule réponse que j'eus de sa part fut quelques sons joués sur ma basse favorite. Ce mec voulait ma mort sur sa conscience ou quoi ? Je soupirais tout en levant les yeux au plafond et lança « Tu peux me dire comment tu fais ? C'est à peine si tu as fait nuit blanche et tu pètes la forme! Bon, plus le temps de discuter, je vais à la pharmacie et je reviens. » Sur mon passage, j'emportais mon porte-feuille posé sur la table basse et sortit de l'appartement où une envie d'air frais m'emporta. Il fallait que j'aille prendre l'air au plus vite et me poser dans un endroit calme où mon mal de tête aurait plus de chance de diminuer qu'ici.

Rapidement, je descendis les escaliers jusqu'à ce que je tombe nez à nez avec une jolie blonde. Je l'avais déjà croisé dans l'immeuble, je me demandais d'ailleurs si elle n'était pas une fan ou groupie du groupe puisque je ne l'avais vu entrer dans un appartement. Blonde et jolie, mais je n'avais pas la tête à ça aujourd'hui. Malheureusement pour moi, elle commença à engager la conversation ou plutôt à quémander mon aide à propos de sa boucle d'oreille perdu. « Ecoute, à partir du moment où je suis dans cet immeuble, je suis quelqu'un de normal et les fans, je n'en veux pas ici. Donc pour les autographes ce n'est ni le lieu, ni le moment ma jolie. » Je m'apprêtais à partir, mais la réaction de la jeune femme m'intrigua vraiment. Elle avait l'air surprise et intriguée par ma réponse, mais aussi blessé par mes paroles qui avaient pu paraitre hautaines et très mal polis. Apparemment, je venais de me couvrir de ridicule tout seul et elle ne devait pas me connaitre. « Je serais prêt à parier que tu ne me connais pas, je me trompe ? »



Dernière édition par Nataël Adonis Dawkins le Sam 19 Mar - 21:22, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Autumn L. Hill
NEW ARRIVANTBack off ! You're standing in my aura.

Autumn L. Hill

✂ EMMÉNAGEMENT : 25/02/2011
✂ TAPAGES NOCTURNES : 16

LET'S EXCHANGE RECIPES
✂My age: vingt-deux automnes.
✂My job: étudiante en littérature et employée d'un petit magasin le weekend.
✂My neighbors:

how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) Empty
MessageSujet: Re: how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël)   how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) Icon_minitimeMer 2 Mar - 22:44

Depuis son emménagement, Autumn avait quelques fois croisé dans les couloirs de l’immeuble un jeune homme blond, qui lui ne l’avait pas remarquée plus que ça. Autumn ne savait pas s’il habitait là, ni, si c’était le cas, à quel étage. Elle se contentait juste de l’observer discrètement lorsqu’elle le voyait, ce qui était assez rare au final. Mais ce jour-là, après avoir vécu un début de matinée qui avait bien failli la rendre folle, ce fut pour elle une bénédiction de le croiser. Elle ne ressentait rien pour lui, ne vous méprenez pas ; c’était juste comme un petit rayon de soleil qui embellissait sa journée, rien de plus. Il l’intriguait pourtant et c’est sûrement pour cette raison qu’elle se décida à lui parler cette fois. Après avoir inventé une excuse foireuse à propos de ses boucles d’oreilles, elle l’entendit dire : « Ecoute, à partir du moment où je suis dans cet immeuble, je suis quelqu'un de normal et les fans, je n'en veux pas ici. Donc pour les autographes ce n'est ni le lieu, ni le moment ma jolie. » Silence. Le sourire d’Autumn se changea en une grimace. Elle paraissait surprise. Quelqu’un de normal ? Fans ? Autographes ? Qu’est-ce que c’était que ce cirque ? De plus, il l’avait appelé « ma jolie » comme si elle n’était rien d’autre qu’une blonde écervelée que les hommes appellent lorsqu’ils ont envie de s’amuser. Eh bien il se trompait complètement. Et elle s’était bien trompée sur son compte elle aussi finalement. L’envie de le connaître, de satisfaire cette curiosité due au « mystère du blond de l’immeuble » disparut en un instant. Autumn était partagée entre une colère naissante et une profonde déception, accompagnée d’une douleur. Qui était-il pour la traiter ainsi ? Il semblait avoir réalisé son erreur, car il ne tarda pas à ajouter : « Je serais prêt à parier que tu ne me connais pas, je me trompe ? » Un demi-sourire moqueur apparut sur le joli minois de la New-Yorkaise. Elle le toisa quelques instants avant de parler à son tour. « Et tu gagnerais le gros lot, crois-moi. » Elle glissa ses mains dans ses poches et le dépassa, arrivant au rez-de-chaussée. Elle avait oublié l’histoire de son téléphone et s’apprêtait à sortir pour se changer les idées et oublier cet imbécile narcissique et égocentrique. Comment était-elle supposée le connaître, hein ?

Autumn s’arrêta soudain, quelques mètres devant les escaliers, tournant le dos au jeune homme. Malheureusement pour elle, cette histoire l’intriguait beaucoup trop. Elle voulait résister et partir, mais c’était plus fort qu’elle, la curiosité la rongeait toute entière. « Alors… qui es-tu ? » dit-elle tandis qu’elle se retournait et plongeait ses yeux dans ceux du jeune homme. Il était mignon, mais banal. Pas de quoi en faire tout un plat. Attendant qu’il daigne lui répondre, elle ôta sa deuxième boucle d’oreille et la rangea dans son sac, à côté de la première. Elle ne supportait pas se retrouver avec une seule boucle. Lorsqu’il sembla enfin ouvrir la bouche, la New-Yorkaise lui coupa pourtant la parole, sans le faire exprès. « Tu es… célèbre ? Pas que ça m’intéresse particulièrement, mais à partir du moment qu’on se méprend à mon sujet, j’aime savoir à qui j’ai à faire. » Voilà qui en disait long sur ce qu’elle pensait de ce qu’il avait dit. N’empêche… Il avait dit « dans cet immeuble » un peu plus tôt dans la conversation, si on pouvait appeler ça comme ça. Cela voulait-il dire qu’il habitait là et qu’elle devrait à nouveau le croiser ? Si c’était ça, alors elle était maudite. Un voisin bruyant et un type qui la prend pour une blonde quelconque. Soit elle avait la poisse, soit on lui en voulait là-haut ; dans les deux cas, cet immeuble était l’endroit où on avait décidé de la faire tourner en bourrique et devenir folle. Et les surprises étaient loin d’être terminées.
Revenir en haut Aller en bas
Nataël Adonis Dawkins
NEW ARRIVANTBack off ! You're standing in my aura.

Nataël Adonis Dawkins

✂ EMMÉNAGEMENT : 13/02/2011
✂ TAPAGES NOCTURNES : 146

how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) Empty
MessageSujet: Re: how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël)   how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) Icon_minitimeSam 19 Mar - 21:46

Décidément, cette journée allait être catastrophique jusqu'au bout. Je venais de me ridiculiser devant cette très jolie jeune femme puisque apparemment elle n'avait pas connaissance de mon identité. Rare sont les fois où j'ai la chance de rencontrer ou croiser des personnes qui ne savent pas qui je suis, et là, je venais de me comporter comme le dernier des abrutis. Elle devait penser que j'étais quelqu'un d'arrogant et de prétentieux, mais si elle le pensait, elle faisait complètement fausse route. Je n'étais pas du genre à me pavaner devant tout le monde et à crier sur les toîts mon métier, au contraire, j'aimais ma tranquilité et c'était d'ailleurs ce qui expliqué ma réplique précédente. En tous les cas, je n'allais pas laisser la situation s'envenimer car même si ça ne me déplaisait pas d'avoir des ennemis, j'appréciais faire la connaissance de personne dans son genre. Rien que par le fait de ne pas me connaitre, elle me donnait envie de faire plus ample connaissance et ça donnait beaucoup plus d'intérêt à la relation. « Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m'a prit, ce n'est pas du tout mon genre. » Mes excuses étaient sincères, mais j'ignorais si cela suffirait à la jeune femme. Je n'étais pas sous mon meilleur jour, j'étais terriblement malade et dans ces moments là, j'avais toujours un caractère de cochon. Tout ce que j'espérais c'est qu'elle ne me prenne pas pour une personne que je n'étais pas.

Mes excuses n'eût pas l'air de la convaincre puisqu'elle enfourna ses mains dans les poches de sa veste et se rendit tout droit vers la portée afin de sortir. Ses pas étaient hésitants et alors que je la regardais quitter l'immeuble, elle se retourna et lança : « Alors… qui es-tu ? » Je haussais les épaules pour lui faire comprendre qu'elle me posait un peu une colle. Non la question n'était pas difficile en elle-même, j'avais juste à lui réciter nom, prénom, âge et pourquoi pas métier, mais dans sa question j'avais perçu quelque chose de plus profond. Qui étais-je ? Une mauvaise personne, une bonne personne ? Bref, mes pensées s'égaraient et je secouais la tête frénétiquement pour me remettre les idées en place. « Je.. » ; à peine avais-je ouvert la bouche qu'elle me coupa la parole pour répliquer : « Tu es… célèbre ? Pas que ça m’intéresse particulièrement, mais à partir du moment qu’on se méprend à mon sujet, j’aime savoir à qui j’ai à faire. » Je soupirais un bon coup et lui répondit de suite afin qu'elle ne me coupe pas la parole une nouvelle fois. « Qui je suis ? Mais pourquoi je ne te laisserais pas répondre à la question en première ? Qui es-tu pour inventer de toute pièce une histoire de boucle d'oreille perdu ? Et oui, la discrétion et toi, ça n'a pas l'air de faire bon ménage. » Inconsciemment, je me mis à lui sourire , mais cela ne dura que quelques secondes avant que je ne fasse disparaitre ce sourire nais qui était apparu sur mes lèvres. La demoiselle allait certainement être gênée et surprise de voir que ce petit manège n'avait pas fonctionné à merveille. D'ailleurs, une question me trottait dans la tête et spontanément, sans même avoir réfléchi avant à ce que j'allais dire, je la questionna : « Je me demande, pourquoi as-tu fait ça ? Enfin pourquoi avoir inventé cette histoire ? » C'est vrai quoi, quelle pouvait être sa motivation, son but ? Je n'en voyais aucun et j'espérais qu'elle pourrait éclairer ma lanterne.





Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) Empty
MessageSujet: Re: how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël)   how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël) Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

how do you call it? ah yes, destiny. ★ (autumn&nataël)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» NATAEL - We were on a break!
» La duchesse s'amuse à Boston . Lena & Natael & Jaeden
» JULES ❖ This is not your legacy, this is not your destiny.
» autumn ★ here i am.
» coz i need you now; autumn. ★ (terminé)
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
KNOCK ON YOUR DOOR :: CONTACT LE NOTAIRE :: Ici, c'est le tri sélectif-
Sauter vers: