Je me souviens encore de ce bonheur, celui que je partageais avec ma famille. Ma vie était parfaite. J'ai une soeur, elle est lycéenne, elle a 15 ans. J'habitais à Los Angeles à côté de cette magnifique plage Venice Beah. Chaque samedi après midi, nous nous baladions sur la plage. Elle me racontait sa semaine, ses secrets et j'en faisais de même. Mes parents restaient tranquillement . Cette après midi là, il y avait beaucoup de vents, ma soeur était fatiguée, nous rentrions plus tôt que d'habitude. Je me souviens avoir été alerté par cette fumée noir et cette lumière rouge agressive ! Les voisins encerclait ma maison. La police et les pompiers étaient là ! Un policier s'avança vers nous et commença à parler. Je n'ais redenus que quatre mots de son discous " je suis sincèrement désolé". Je savais ce que sa signifiait. Mes parents avaient été pris au piège dans leur propre maison. Leur cris de peur et de souffrance avait alerté tout le voisinage mais aucun n'a réussi à pénétré dans la maison ou à éteindre le feu. La pire chose qu'on puisse me demandé m'était tombé dessus. Celle de reconnaître le corps de mes parents ! L'image du corps de mon père et de ma mère carbonnisé, détruit, brullé me hante encore ! Mon bonheur c'est éteint en seulement une minute ! La police a longtemps cherché une explication mais aucune n'était possible. Ma soeur et moi avions été plaçé dans un foyer avant que je sois mis dehors à 18 ans. Le juge m'a accordé la garde de ma soeur il y a seulement un an. J'ai fais mon deuille mais ma soeur elle ne fait que couler. Elle n'a toujours pas accepter et surmonter son chagrins. Un mystère jamais résolu, une question sans réponse. Je savais bien que mes parents avait été assassiné . Elena, se renfermait, plus les jours passait plus le silence reignait. Je n'avais que 16 ans et elle 9, la vie était terriblement injuste ! Trois ans après, je retournais à Los Angeles. J'avais oublié combien cette plage était magnifique. Je repprenais le chemin de mon passé. La maison était toujours là en ruine. Pourtant le temps avais laisser des traces, la peinture bleu des volets était écaillé, la balancelle sur la terrasser émettait un grincement sinistre et pourtant la maison m'apparaissait acceuliante. Ma chambre était vide seul mon lit était toujours là. Jamais je n'aurais cru avoir le courage de revenir ici. La chambre de mes parents elle était encore meublé. Le bureau blanc de mon père était toujours là, à la même place. L'armoire de ma mère aussi, sa chemise rose aussi ! Comme si c'était hier, comme si ils allaient franchir la porte en criant mon nom. Ma mère avait aussi perdu ses parents dans un incendie. Elle était chez une amie quand elle est revenu ses parents n'étaient plus là. Comme si l'histoire se répétait. Mon père lui a toute sa vie touné le dos à ses parents, je ne sais même pas comment ils se nomment ! Je n'ais jamais su quelle était la cause. Mon père refusait d'en parler . Un jour aurais-je une réponse à ma question, un jour connaître-je la vérité ? Je l'espère que oui !