i'll be there for you when the rain starts to pour

Le temps file, le temps n’attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps. Je n'est jamais vraiment eu une vie mélodramatique et pourtant je ne faisais que de regarder des films triste, à l'eau de rose, le genre des feux de l'amour mais version film vous voyez. Je n'étais pas de celles qui se faisaient remarquer par leurs amours déchu et qui postaient leur penser sur un journal intime virtuel. J'étais du genre à vivre ma vie à fond les ballons, à dépasser le 90 kilomètre/heures pour un petit 140 ou encore me jeter dans le vide suspendu par un bout de ficelle. Aufaite mon petit prénom c'est Marissa, Marissa Chandler Brightside plus précisément. Je dois dire que contrairement à certains j'adore mon prénom et même mon deuxième prénom, même si beaucoup trouve que ça fais "chandelier". De toute manière je vis pas pour les gens et heureusement parce que sinon ma durée de vie aurait surement été écouté. « Marissa t'as vu ma robe ? Hé mais c'est ma robe ! » « Ha bon ba je l'ai trouvé par terre. Une seconde c'est mes boucles d'oreilles ! » « Je les ai trouvées par terre. » « Aie ! » « Aie ! » Et dans ce monde pitoyable où nous vivons actuellement, on tous chacun le droit à nos petits rayons de soleils qui illumine notre vie. Par exemple moi le mien c'est ma sœur jumelle, Saphyr. C'est mon amie, ma meilleure amie, ma confidente, l'amour de ma vie entre guillemet. Entre guillemet, car on est pas inceste non plus. Nous sommes née en Californie, il y a déjà de ça vingt-trois années. Oh la Californie, c'est aussi beau et magique que vous l'imaginer, surtout quand on a des parents fortunée. Après dans le cas contraire, autant habiter ailleurs. Je vous jure que las-bas, c'est toute ma vie. Le soleil, la plage, les cocotiers, tout y est. Si tu veux te faire un chinois dans la nuit, c'est comme à New-York y a qu'a demander. C'est fou ce que j'aimais vivre las-bas et encore plus avec ma taré de sœur. Enfin taré.. Nous étions aussi fêlé du cerveau l'une que l'autre quoi. « Grouuuuuille toi la mascotte de l'école va pas se voler toute seule! » « C'est bon là, c'est mes talons qui veulent pas que je passe par la fenêtre! » « Je vais te les casser, ça passera mieux. » « T'est folle ou quoi?! elles m'ont coûté du peau des fesses. » « T'inquiète pas on les recolleras et lorsque tu les remettras t'aura qu'à dire que c'était pour la bonne cause. Un genre de sauver Willy. » Nous faisions les 400 coups, c'était simple l'autorité on ne connaissait pas. Papa et maman ne cessaient de nous courir après, au travers des quatre coins de la Californie. Le mercredi aprem-midi au lieu de faire du shopping chez Macy's on les passaient à dessiné nos futurs plans pour encore faire plus enrager le monde sur une table datant de l'an 40. Autrement dit, on était collés. De leur côté les professeurs, ne savait plus quoi faire de nous, on récoltaient des bonnes notes et pourtant on était les pires cas jamais encore rescencé à ce jour. Nos bulletins prenaient chers mais bordel qu'es ce que c'était bon. Lorsque nous avions atteint la majorité, il était tant de changer d'air. Le sable c'était bien mais dans la figure pendant 365 jours ça l'était moins. « On déménage. » « Quoi toutes les deux ? » « Ba oui on va quand même pas vivre chacune dans son coin ? » « Ouais c'est vrai. » C'était moi qui avait lancé l'idée et il faut dire que j'en était plutôt fière. De toute manière nous ne pouvions vivre l'une sans l'autre, étant jumelles et fusionnelles, ça aurait été inconcevable de partir à Boston, sans ma Saphyr. En plus on partageait la même garde robe. Il faut dire que Boston c'était un tout autre climat, rien à voir avec notre nid douillet. Papa et maman pour nous punir de notre enfance de peste, on décidé de nous inculquer enfin les vrais valeurs de la vie. Ça consistait à nous laisser sans argents. Bien-sur j'ai bien cru que cette fois-ci, le cordon ombilicale était vraiment rompu et qu'ils avaient trouvé la parade pour nous rendre malheureuse. Au début ce fut dur, mais nous étions de vrai warrior, blondes, mais des warrior quand même. On est aller s'inscrire à l'université, j'avais toujours rêvé de faire journaliste, allez savoir pourquoi. La mode ça m'avait toujours botté et j'avais bien envie de bosser pour une grande rédactrice de mode. Saphyr quand à elle décida de suivre des études de médecine, c'était opposé mais pourquoi pas hein ? Afin de pouvoir payer notre loyer, nos études et tous nos petites affaires indispensable à notre vie, nous avions décidé de postuler dans des agences de mannequinnat. Il faut dire que notre physique était loin d'être laid et niveau fast food, on pouvait en abuser autant qu'on le voulait, pas un pète de graisse sur l'ensemble du corps. Nous n'avions donc pas de mal à se trouver des fans et surtout des photographes pour quelques shoot par-ci par-là. Mais depuis quelques jours maintenant, Saphyr est devenue bizarre. Étant extrêmement proche, je sentais une sorte de froids ou encore quelque chose qu'elle ne me disait pas. Je n'ait peut-être pas les talents de Veronica Mars, mais c'est certains que j'allais éclaircir ce mystère.

R'bienvenue
Du coup, je t'ai tout dis par mp. Brefouille, c'est un excellent choix.

MK.
Je valide