Sujet: JACKO → If lifes suck, you'll be right in it. Mar 15 Fév - 7:31
❝JACKSON " JACKO " PATRICK ANDERSON❞
✎ T'ES COMMENT SINON DANS LA VIE ?
Moi c'est jackson patrick anderson et j'ai 23 ans ans. Je suis né le 24 août 1987 à Sydney vers 14h00. En ce moment, je vis à Boston, USA et je m'y sens comme un poulet sans sa tête. Je suis d'origine australienne et on dit souvent que cela se remarque. Ma vie sentimentale, y a pas grand chose à en dire sérieusement, je suis Célibataire et j'avoue que parfois ça me casse les pieds. Pour m'occuper sinon je suis étudiant en criminologie et cela depuis déjà deux ans. J'adore les animaux et je suis dans le groupe free as a bird
✎ TU ES GENTIL OU MECHANT ?
✎ TON APPARTEMENT DE RÊVE IL SERAIT COMMENT ?
Je n'ai pas vraiment d'appartement de " rêve " en tête. Disons que je n'ai pas tout à fait les mêmes critères que d'autres. En effet, je me contente de peu. Il faut dire que ma vie, même si je dois admettre qu'il y a pire, ne m'a pas permis de me plaindre sur quoique ce soit. Selon moi, le plus important c'est d'avoir un toit sur la tête. Un toit qui ne fuit pas bien entendu. Le reste, je m'en contre-fiche. En fait, l'appartement dans lequel je vis est un rêve en soi. J'adore cette crasse qui est mienne. Ça me confirme ce que je sais déjà : que je suis libre de faire ce qui me plait quand ça me plait. Il est donc indéniable que cet appartement est sans doute l'endroit où je me sens le mieux dans ce monde de fous. Que vous me croyez ou pas, ça je m'en balance , mais c'est la stricte vérité. Je crois que je ne pourrais rêver mieux, j'ai enfin pu découvrir ce que c'est la vraie vie. Et pour ça j'ai bien envie de baiser les pieds du proprio', ouais!
✎ TON VOISIN IDÉAL SI TU DEVAIS LE DECRIRE ?
Une femme très jolie et célibataire. Sans déconner, je n'ai pas de " préférences " à ce sujet. Tout ce que j'ai toujours souhaité, c'est de pouvoir dormir le matin sans me faire réveiller par le bruit d'un tapage matinal indésirable. Et donc, dans cette partie, ce n'est pas vraiment " mon voisin idéal " qui me vient à l'esprit, mais plutôt " le voisin cauchemardesque " et dans la liste des choses qu'il ne faut pas faire quand je suis votre voisin, faire de bruit aux aurores est une règle à bien respecter. Balancer des substances visqueuses l'est tout autant. En bref, mon voisin se devra de me respecter, sans quoi je ne me gênerai pas pour lui coller une baffe mémorable dans sa tronche de trisomique. Après, vous me croyez ou pas, je m'en balance , mais c'est la pure vérité.Mon voisin idéal, en fait, doit tout simplement vivre sa vie sans empiéter sur la mienne. Aussi simple que cela puisse paraitre, je ne peux en dire autant d'appliquer cette philosophie au quotidien...
Spoiler:
▷ pseudo/prénom. gorgeousmali. ▷ âge. 23 ans. ▷ tu viens d'où ?bazzart (a) ▷ & t'aimes le fo ? Tu le trouves comment ? Si je me suis inscrite, c'est parce que déjà je l'adore. Espérons qu'il perdurera dans le temps. ▷ c'est ton dernier mot ? voulez-vous m'épouser?
Dernière édition par Jackson P. Anderson le Mer 16 Fév - 10:46, édité 3 fois
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Sujet: Re: JACKO → If lifes suck, you'll be right in it. Mar 15 Fév - 7:32
" i'm a cowboy.. i want it dead or alive "
« Shane, tu crois qu’on va toujours être comme ça? » La gamine me regardait, le visage de travers, comme si je venais de lui parler en mandarin, ou quelque chose qui s’y accommodait du moins. Je pouffai de rire « Comme ça quoi ?» râlait-elle alors que je m’apprêtais à répondre à ses interrogations. Je haussai les épaules, je devais avoir neuf ans. « Bah, amis ! J’imagine que ça va faire comme avec mon papa et ma maman, un jour ça va bien et le lendemain ils ne sont plus ensembles » Mon amie me regardait un sourire amusé, me tapotant l’épaule comme pour me rassurer « T’inquiète, toi et moi on sera toujours ensemble, pour la vie » un rire s’échappa de mes lèvres. « Pour la vie » . Shane était ma voisine, enfin, ma voisine d’en face. On s’est rencontré à la maternelle et entre nous deux, le courant était tout de suite passé. C’était un peu comme de réunir deux sphères compatibles, une symbiose parfaite animait notre relation, la faisant briller de milles feux. Aujourd’hui, je ne peux m’empêcher de me dire que si je ne l’avais pas eu à mes côtés tout ce temps, je serais devenu encore plus minable que je ne le suis déjà. C’était mon acolyte, celle avec qui je faisais les cent coups. On en faisait baver à nos parents, à jouer au jeu du cap et pas cap’ , mais les souvenirs de mon enfance lui était entièrement consacré. Comme quoi toutes les histoires ne sont pas seulement truffées d’horribles épisodes… À cet âge, ce jeune âge même, je devais déjà encaisser le fait qu'il y avait de cela très longtemps que mes parents ne s'aimaient plus, que j'étais devenu un enfant de divorcés, et qu'il me fallait vivre avec l'idée que jamais plus je ne les verrai être heureux ensemble. Je me demandais même s'il avait réussi à être amoureux de l'un de l'autre, tant leur relation était tumultueuse et très peu passionnée. J'crois surtout que ma mère n'avait jamais apprécié que l'on déménage de Sydney pour se lancer en Amérique pour le boulot de mon père. Mais si elle avait su tout ce qu'il allait devenir en vivant une nouvelle vie, je crois qu'elle aurait fait demi-tour. Par amour, hélas, on déplacerait mers et montagnes. Ma mère s'en était mordu les doigts. Et aujourd'hui encore, elle assume les conséquences lourdes de ses actes, laissant une certaine amertume à sa vie qui n'avait jamais été très joyeuse...
Une année auparavant Ces cris , ces sanglots, cette peur, cette atmosphère lourde et insupportable grouillait dans les murs, brisant nos coeurs en infimes petits morceaux, comme du verre brisé, irréparable à tout jamais. J'étais dans ma chambre, avec ma petite soeur qui n'était encore qu'un nourrisson et qui ne comprenait rien à ce qui nous arrivait. Mais moi, oui moi, j'avais huit ans et je savais exactement ce qui se passait dans la pièce voisine. J'avais entendu ces cris un bon million de fois depuis que j'avais atteint l'âge de réfléchir, et d'entendre. Mon père se la jouait " roi de la cours ", usant de sa force physique pour faire chanter sa femme. Il était odieux, méchant et incroyablement susceptible. Et il n'hésitait pas à la cogner quand elle lui disait quelque chose qui ne lui plaisait pas. J'avais témoin de ce dramaturge tellement de soir qu'il en était presque, je dis bien presque banal. Cette vie avait changé l'âme de mon géniteur. Pour je-ne-sais-quelle raison, ce boulot de fonctionnaire lui était monté à la tête. Il se croyait pour le maître suprême de cette demeure, et tous autant que nous étions dans cette famille, tous, nous regrettions l'homme aimant, passionné et adorable qu'il était autrefois. Dictateur, il avait tiré les ficelles de nos coeurs pendant beaucoup trop longtemps. Ma mère avait sans doute pris la meilleure décision de toute une vie en le quittant une fois pour de bon, l'année suivante, emportant avec elle le fruit d'un ancien amour profondément perdu dans l'abysse des cauchemars quotidiens dans laquelle il la plongeait toutes les secondes, les minutes, les heures. Et nous, pauvres témoins de leurs conflits, n'étions là que pour assister à l'échec.Je ne le revis plus après le divorce, du moins pas avant un certain temps et nous nous en trouvions plutôt soulagés. Il avait quitté le navire, pour se diriger dans un village perdu tout au fond de l'Ohio. Il préférait nettement agir en lâche plutôt que d'affronter le fait qu'il avait été un connard et ses enfants voulaient le voir souffrir au moins autant qu'il avait fait souffrir leur mère. J'aurais pu être bien s'il aurait disparu entièrement de ma vie, mais ce ne fut pas le cas. C'était mal connaitre mon père, il n'avait pas dis son dernier mot [...]
« J'vais le tuer. J'VAIS LE TUER! » avais-je hurler tandis qu'une poignée de policiers tentaient de contenir toute cette rage en ébullition dans mon coeur saignant. me tenant fermement les bras pour ne pas que je m'y en échappe, comme un chien de garde prêt à bondir sur le premier venu. Le visage maculé de larmes, je tentais d'oublier. D'oublier ce corps inerte qui gisait devant moi, ce visage singulier, et effrayant vu sous l'oeil de la mort. Impuissant, j'avais fini par lâcher prise, me laissant tomber lourdement contre le sol. Ma mère était accroupie à mes côtés, tremblant comme une feuille, haletant de souffrance.« Pourquoi elle nous a laissé, M'man?Hein pourquoi? » avais-je dis en tentant de retrouver la vision, qui me fut plutôt trouble à cet instant précis. Ma mère ne trouva rien à dire, elle sanglota de plus belle, sa voix se bloquant dans sa gorge, trop agitée pour dire qu'un seul mot. Elle était aussi choquée que moi, tout aussi bouleversée par ce drame qui venait encore de frapper sur notre famille de fous. « Madame, ramenez votre fils avec vous, il faut nous laisser faire notre travail » avait soufflé un homme en tenue cravate, ce devait sans doute être le coroner. Il m'apparaissait comme un bouc, la fourrure en moins, et son visage bien qu'encore flou dans mon esprit, m'inspirait rien de moins que le mépris de la mort en elle-même.. L'instant d'après, j'étais sur lui, à le ruer de coups de droite en puissance. Il n'avait pas le droit de nous séparer d'elle, pas le droit de faire " son boulot " , je venais de perdre ma soeur, merde, ma soeur, vous m'entendez? En cette soirée fraîche d'une nuit de septembre, elle s'était envolée , partie à tout jamais, tirant sa révérence à tous ceux qu'elle aimait éperdument, sans se soucier de ce qu'on en ressentirait une fois qu'elle ne serait plus là. C'était un suicide, selon le coroner, et pourtant ça ne m'avait pas surpris. J'aurais dû l'écouter quand elle m'appelait à l'aide, j'aurais dû être là, à ses côtés, quand rien n'allait plus. Mais le pire c'est que j'aurais pu faire tant de choses que je n'ai pas eu la force de faire, comme de me battre contre lui, contre cet immonde chose qui m'avait servi de faux père pendant toutes ses années. C'était sa faute, uniquement sa faute, si elle avait décidé ce jour-là d'en finir avec la vie ici-bas. S'il n'aurait pas agi avec elle comme il le faisait avec ses employés, elle serait peut-être encore là à me sourire et à me raconter que la vie d'une adolescente est merdique. Elle avait subi un max de pression de sa part, et elle avait fini par lâcher prise. Mon père, vous savez, était un homme manipulateur et dangereux... Il avait vaincu ce combat, mais il en avait pas fini avec moi. À partir de l'instant où je l'ai vu ainsi, j'ai su que j'allais lui faire payer toutes ses saloperies qu'il nous avait fait à nous tous.
« Tu vas devenir le meilleur criminologue de ce pays, fiston, tu m'entends! C'est quand même moi qui paie tes études, donc force-toi où bien je te coupe les vivres » charmante visite en ce matin particulièrement maussade. Mon père m'avait lancé cette phrase avec une facilité déconcertante, comme s'il tentait de m'acheter avec cet argent qui avait pourri son esprit. En guise de réponse, je lui crachai dessus, prêt à user à nouveau de mes poings s'il en aurait fallu « TA GUEULE ! fiche le camp d'ici.. J'veux même plus te voir, coupe les vivres si tu veux, je m'en fous totalement... Clébard » les traits crispés de ce dernier suffisaient largement à me faire comprendre qu'il avait été offusqué par mes paroles. J'étais prêt à lui dire adieu pour toujours, parce que pour moi, il avait toujours été une merde, et qu'il ne comptait plus. Je souhaitais tellement qu'il se retourne, qu'il parte et qu'il ne revienne plus. Mais au fond, j'avais aussi peur, peur qu'il ose lever la main sur moi. Retenant mon souffle, je scrutai ses prunelles comme si j'avais envie de lui arracher les yeux. L'instant plus tard, il était parti en marmonnant quelques jurons. Ce fut la dernière fois que je revis mon père, soit depuis un an et demi, soit six mois après la mort de ma soeur, Jaymiah. C'était comme si un immense fardeau s'était envolé de mes frêles épaules. Je pouvais enfin souffler. Nous pouvions enfin souffler. Car de là-haut, je savais qu'elle aurait été fière de moi, je savais qu'elle aurait été soulagée, à son tour, qu'il ne soit plus jamais dans notre vie, plus jamais...
"she took my heart i think she took my soul "
« Qu'est-ce que tu fous ? » avais-je grommelé, à moitié éveillé, une douce lumière se posant sur mon lit. Daisy se tenait là, devant moi, à s'habiller à une vitesse qui dépassait mon imagination.Elle n'osa pas m'accorder un seul regard.« Ça se voit pas Jack'? J'me casse, j'ai autre chose à faire... » m'avait-elle dit d'un ton suffisant, visiblement piquée par je ne sais quelle bestiole. Je fronçai les sourcils, j'étais sans doute l'homme le plus idiot sur terre, je n'y comprenais rien.Je mis un effort considérable à m'asseoir dans mon lit, me frottant le visage d'une main, m'ébouriffant sauvagement les cheveux de l'autre. S'il n'en tenait qu'à moi, je me serais gifler rien que dans le but de me réveiller.« Toi et ton joli p'tit cul, vous pouvez pas rester avec moi juste un peu? » Elle soupira en agitant ses mains. Je pouffai de rire. Elle agissait toujours comme ça quand je l'énervais et ouais, bordel, j'adorais ça.« Jack on est amis d'accord? Depuis quoi , un peu plus de trois ans maintenant ? Je t'adore, tu le sais bien.. Mais des amis, ça couche pas ensemble. Donc je pars, et tu fermes ta grande gueule et on n'en reparle plus, est-ce clair? » Je la regardais partir sans dire un mot. Je n'osai pas l'arrêter, et lui dire que ça me faisait mal de l'entendre me dire ça, que ça me faisait mal de voir qu'elle se foutait de ma gueule. Parce que cette nuit-là avait été spéciale pour moi, c'était la première fois que nous étions " intimes " et j'avais passé une nuit torride, non non que dis-je, passionnelle avec sa beauté bouleversante. J'aurais aimé qu'elle ressente cette fusion qu'il y avait eu entre nous deux lors de notre ébat amoureux mais peut-être que mes espérances avait un barème un peu trop haut à atteindre. Bon, je n'avais jamais abordé le sujet de mes sentiments avec elle, pas parce que ça ne me brûlait pas d'envie, mais parce que je m'y obligeais au nom de cette putain d'amitié qui, à ce jour, me soulait de plus en plus. Et dire qu'avant de la connaitre, je prenais mon pied avec de magnifiques blondes qui me faisaient voir le jacuzzi du septième ciel.. Et dire qu'avant, j'avais pas à me soucier de plaire. Avec elle , c'était le monde à l'envers. Le dragueur perdait de son charme, perdait de son art. Elle me faisait chier ouais, mais bon sang, oui bon sang, je l'aime tant. C'est pas tout à fait comme si elle était moche non plus, Daisy est une déesse incarnée, le genre de filles que tous les mecs rêvent de se taper.
Dernière édition par Jackson P. Anderson le Mer 16 Fév - 10:57, édité 19 fois
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Sujet: Re: JACKO → If lifes suck, you'll be right in it. Mar 15 Fév - 7:38
Premiere à te souhaiter la bienvenue ! Quel honneur Hunter je suis une toute nouvelle fan de weed Et j'exige un lien, jai même déjà un début d'idée surtout que depuis que jai Lyndsy je vois plein de montage de ces deux là et puis parce qu'il a passé à deux doigts d'être un de mes scénarios
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Sujet: Re: JACKO → If lifes suck, you'll be right in it. Mar 15 Fév - 7:49
oouh sexy boy Bienvenue sur le forum & amuses toi bien
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Sujet: Re: JACKO → If lifes suck, you'll be right in it. Mar 15 Fév - 8:12
Shane Cavanaugh a écrit:
Premiere à te souhaiter la bienvenue ! Quel honneur Hunter je suis une toute nouvelle fan de weed Et j'exige un lien, jai même déjà un début d'idée surtout que depuis que jai Lyndsy je vois plein de montage de ces deux là et puis parce qu'il a passé à deux doigts d'être un de mes scénarios
Ha bah dis donc, quel accueil! D'abord merci d'être venue dans ma fiche, et pour le lien OMG! Bien sûr que je veux. D'autant plus que tu as une idée derrière la tête... Moi ça me " botte bien "... On se dit donc à plus tard, dans un rp, avec un lien qui gère de la fougère ?
Epiphanie: Déjà wouah le prénom quoi Et puis K. Perry, que de jolies demoiselles Merci beaucoup *o*
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Sujet: Re: JACKO → If lifes suck, you'll be right in it. Mar 15 Fév - 8:19
C'est normal, fallait jen profite de ma connexion couche tard. et puis hunter Certainement alors dépêche toi à finir ta fiche pour qu'on puisse en faire un, sinon je te mpotte.
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Sujet: Re: JACKO → If lifes suck, you'll be right in it. Mar 15 Fév - 8:21
Mpotte moi ou parle m'en sur le ch@t .. Peut-être que je t'inclurai dans ma fiche si le lien est d'une importance capitale pour nos deux personnages *o*
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Sujet: Re: JACKO → If lifes suck, you'll be right in it. Mar 15 Fév - 9:04
IL EST CANON Bienvenue :)
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Sujet: Re: JACKO → If lifes suck, you'll be right in it. Mar 15 Fév - 10:23
Et que dire de Ian Ouais J'adore Weed et bon c'est quand même la seule série qui l'a fait connaître Merci (: